Entre l'ombre et la mort ( un voyage libre pour courageux.)

Un pas puis un autre, douleur. L'éclat de la lame flactienne qui déchire mon flanc, souffrance. Puis, Ozai qui me regarde couvert de sang. Il ne pouvait plus rien pour moi. Les deux guerriers qui range leurs lame dans un dernier tintement. Un dernier éclat de lumière avant la noirceur.

Je plongeais, pied après pied, dans une noirceur immense. Un long passage où brume se mélangeait avec l'éclat léger d'un ciel dépourvue d'astre. Toujours ce déplacer dans cette fumé à la recherche d'un quelconque indice, quelque chose sur lequel se raccroché. L'ombre, toujours l'ombre, nul horizon d’espoirs. Durant toute les années qui suivirent, j’évoluais, perdant le peu de raison qu'il me restait encore.

Alors que mon univers ne se résumait qu'à une ombre total et abstraite dénué de tout, quelque chose m'apparus. Une autre ombre, beaucoup plus dense que les autres, se tenait près d'une pierre. Je fis quelque pas, titubât sur le sol, et m'avança à quatre pattes jusqu’à la force mystérieuse. Je me redresse alors et observe la pierre. Cette dernière était en faire une grande pierre d'ambre jaune à l’intérieur de laquelle je pouvais discerné une forme sombre. Pour ce qui est de la silhouette d'ombre noir qui s'y tenait, reposé, je ne pouvais l'identifier. Elle m’adressa cependant la parole d'une voix caverneuse et amplis d'une malice sans borne.

- Te voilà donc Invilass, coincé entre deux mondes. Te voilà donc là voyageur de la mort. La folie ne ta pas encore prise en son sein, voilà qui fait ma chance! Alors mon ami, plusieurs homme à ma solde sont près à te libérer. Il est temps d'accomplir ta destiné. Continue sur cette voie, une rivière t'y attend. Lorsque tu y sera, la mort te sera reprise.

Me redressant, je pris la direction que l'homme m'avait indiqué.

À-tâtons dans la brume, trébuchant dans ma folie, je parcourus des lieux et des lieux. Brisant mainte-fois ma jambe droit qui ne pouvait plus me porter. Je souffrais, immobile durant se qui me semblait être l'éternité, alors que ma blessure se refermait sous l'effet de la mystérieuse ombre. Un frisson puis je retournais à mon voyage, d'abord en rampant puis me relevant. Devant l'éternité, mon espoir diminuais rapidement. Dépression, mélancolie passagère, tout se succédait rapidement.

Je marchais depuis un temps immémoriaux, lorsque j'entendis un frottement dans la noirceur. Intrigué, je me couchas sur le dos l'épée dégainé.

- Non! Me suis-je alors exclamé. Je ne quitterais pas le chemin, inutile de me le redemander! Toujours, toujours suivre la voix!

Un vent glacial m'enveloppa dans un manteau de brume. Puis, aussi soudain que cela avait commencé, le vent retomba.

- Où aller vous!!!! Dis-je Pourquoi me laisser vous encore seul! Non! Je ne veux plus, je ne veux plus continuer par ce chemin!
- Invilass, n’abandonne pas! Me cria une voix familière. N'oublie pas pourquoi tu est là!

Je me leva alors et dans un hurlement pris la direction que je parcourais quelque instant plus tôt. Je parcourus une bonne distance jusqu'à finalement m’effondrer dans une rivière. Cette dernière était glacial et d'un teint rougeoyant.
De nouveau sur mes pied, je retourna sur la plage et m'assis sur la plage.
- Je dois boire. Dis-je alors. Oui boire avant que le vent ne m'emporte!
- Oui bois Invilass. Me répondis la voix. Recouvre tes force.

Un liquide doux descendis le long de ma gorge. Le vent se manifestas de nouveau et d'un éclair je m’évanouis..

Un hurlement déchirant la nuit, le mien, filant au travers de la toile séparant les mondes. Ma vision se dédoublant en deux lieux distinct, à l'ouest d'Orisi et au nord de Borda. La fumé voletait à mes yeux, ciel, ombre. Puis tout cessa dans un soubresaut. Je poussa un dernier hurlement et laissa échapper un dernier soupir. Était-ce la mort qui me reprenait enfin? Puis, un souffre, un autre et une multitude d'autres se succédant. Une noirceur s'offrait devant mes yeux. Non pas une de ces lourdes noirceur de l'autre monde. Une noirceur douce, tranquille et reposante, trop reposante...

Je me redressa, soulevant le drap et constata que j'étais porté sur une structure. Envoyas alors un puissant coup de pied circulaire à mes porteurs. Voilà qu'ils chutaient lourdement au sol et que je détalais entre les branches d'une noir forêt. J'étais couvert de bandage de couleur noir et seul mon œil droit me fournissait la vue. Poussant un hurlement je m'enfuis dans la nuit.

Je ne savais n'y où j'étais, n'y pourquoi j'y étais. Le temps s'écoulait lentement alors qu'un pluie drus recouvrait la forêt. Je m'enfonça d'avantage dans les bois jusqu’à trouver une cabane fait de rondin de bois. J'entrouvris la porte, personne. L'unique pièce était sombre et n'était pourvu que d'un lit simple et d'une commode, sur lequel reposait une lanterne de cuivre. Je m'approchât de la lanterne, fouillas dans les tiroir de la commode et sortis le nécessaire afin d'allumer la lampe, ce que je fis.

Je m'assis ensuite durant quelque heure et pensa à tous se qui m'était arrivé. Je fût ensuite pris de fatigue et alla me coucher dans le lit. La nuit débutait a peine que j'étais au-pris avec de terrible tremblement. De sueur froide me recouvrait et j'avais de plus en plus froid. Je passa une nuit emplis de cauchemars...

Mêlé au songe, une voix... <<Il s'agissait de ton dernier songe Invilass, voilà ce qu'était ta vie d'antan, ne l'oublie pas >>
Je m'éveille alors, confus entre ces diverse réalité que j'avais emprunté en si peux de temps. Je me lève à tâtons, trébuche sur une ombre couché sur le planché de bois de cette cabane. Jetant un regard à mes pieds j’aperçois un vieux bûcherons qui a dût venir se coucher après une soiré plutôt arrosé. Je me penche alors sur l'homme et aperçois une pièce d'or sur lequel était gravé une effigie. J'entrouvris la porte de la cabane afin d'examiner ladite pièce. Je fût figé sur place l'espace d'un instant. Quelque chose me revint en mémoire, <<ne l'oublie pas>> FLAXIEN! Voilà que tout me revenait, plus une miette de cette vie ne m’échappait. J'ouvris la porte à la volé, réveillant l'homme par le fait même, puis me retourna vers le bûcherons apeuré.
- Flaxien! FLAXIEN! Vous pourrirez en enfer!
Je m'avança rapidement vers lui, empoigna la hache qui reposait sur le planché. Le sang coulât...


Je sortis alors de la chaumière, éveillé sur la mission qui m'attendait, et me dirigea vers ce qui me semblait être un petit village. Ma vie commençait dès à présent!

Je ressent tant de souffrance en cette âme perdue, que je me sens obligé de l'aider...
Qui que moi est mieux placé pour comprendre la folie d'un esprit? Invilass doit être guidé, sinon il commettra des erreurs irréparables. Son lien avec le monde des morts est fort, heureusement pour moi...

Alors que le rôdeur marchait vers le village, une silouhette éthérée apparut devant lui, accotée contre un arbre. Il s'agissait d'un jeune homme de taille moyenne portant un habit de noble couleur crème. Ses cheveux étaient attachés en queue de cheval courte, et son regard était empli de calme.

J'avançais dans la lueur de l'aube, entouré d'un halo de haine. Je procédais dans cette forêt depuis quelque minute lorsque je crût apercevoir une forme près d'un arbre. De la brume de chaleur? Certainement pas! Je n'étais pas certain de désirer m'en approcher mais j'étais poussé comme par une main invisible. Cette forme devenait de plus en plus distinguable à mesure que je m'en approchais. Alors que je franchis les derniers mètres m'en séparant, j'aperçus avec distinction les contours de cette chose, d’on j'étais désormais certain de la forme humanoïde. Je fût alors frappé par un éclair de souvenir. Un voyage en bateau, les terres d'Arkol, un boisé semblable à ce dernier et plusieurs autres lieux qui m'était tout aussi familier qu'inconnu. Puis, une forme se distingua, celle d'un assassin talentueux qui combattit à mes côtes il y a bien longtemps. Voilà que je compris enfin, Arne était mort également!

Je fis encore deux pas, et m'arrêtas devant cette informe créature et m’adressa à elle d'une vois caverneuse. Mon corps, brûlé lors de ma mort ne recouvrirait jamais l'état qu'il possédait auparavant.

- Arne (râle de souffrance) que vous est-il arrivé mon ami? Ces ordures de flaxien vous ont fait subir cela? Tu veux savoir quelque chose? Il m'a demandé de tous les pourrir! Oui! Tous! Un après l'autre dans leurs sommeille! Ohhhh que oui dans leurs sommeille! Avec une lame aiguisé... ou pas, dans l'ombre oui! Dans l'ombre ils vont saigner!

Je ne pus que tressaillir en entendant sa voix... Que lui avaient-ils fait ???

-Du calme, l'ami... Il n'est pas question de vengeance et de meurtre, comme autrefois. Les flaxiens ne m'ont rien fait, je me suis moi-même libéré de ma folie...

Je pris une pause et m'approcha de l'être tourmenté.

-Que t'est-il arrivé, Invilass? Qui est ce «Il» dont tu parles?

Le son de sa voit était, à la fois présent et absent. Se monde était tellement étrange, il me faudrait du temps pour m'y habituer. Déroulant tranquilement les bandelettes noir qui couvrait mes bras je lui répondis

- Se qu'il m'est arrivé! Mais que pouvais-je face à cette brume enveloppante Arne! Que pouvais-je faire dans ce monde où le temps est absent et où la seule chose qui m'éloigne de la folie c'est l'idée de la vengeance. Je n'es jamais vécu que pour cela! Et dans la mort elle m'habitait, enfin dans cette forme de mort qui n'en était pas une mais qui n'étais pas vie non-plus, le seul guide qui m'évitait la perdissions c'était lui!

Mes bandages laissaient désormais ces plaies noirâtre qui couvrait mes bras à l'air libre. Il s’agissait d'horrible trace de brûlure qui couvrait mes bras jusqu'aux coude, la où les bandages reprenait. Ont pouvait donc imaginer que mon corps en était couvert dans son entièreté.

- Voilà où j'en suis mon frère! Je suis mort et de retour! Comment est-ce possible, seul lui pourrait me l'expliquer. Mais... en temps et en lieu... en temps... Arne je suis perdu... je ne sais plus... Les flaxiens saigneront tous! Alors Arne, que t'est-il donc arrivé? Ou est passé ton esprit combatif? Écoute

Le vent soufflait sur la forêt lorsqu'Arne reprit la parole

La brise de la nuit vint glacé les goutte d'eau qui perlait sur mes restants de chairs. J'entrouvrit mes yeux pour découvrir un paysage sableux avec comme fond,une petite foret non loin....Mais ou suis-je?? Est-ce..Arkol? suis je enfin arriver a ma destination? Sur ces pensé de douloureux lambeau de souvenir vint hanté mon esprit. J'était sur un bateau....j'ai entendu un crie d'horreur: FLAXIEN!!....je me rappel d'avoir vu une énorme masse dans la brume puis....plus rien. CES POURRITURE VONT ME LE PAYER!

perdu sur une terre inconnu je sentait que je m'éloignait de mon but peu a peu, j’acquerrai vengeance avec le temps....ce phénomène qui met inconnu mais...si favorable.Avec difficulté je me remit sur pied et m’enfonça dans ce boisé. Dans ma tête, le mot flaxien résonnait encore et encore et plus il se répétait plus une rage m'envahissait pour peu a peu m'ensevelir dans une haine complète envers ces...choses. Qui étais-je pour les traiter de monstre...j'en suis un moi même. Un long rire rauque et abîmer sortit du fond du masque qui recouvrait mon visage.

Sur ce une voix sortit des profondeur de la foret....FLAXIEN...disait t-elle instinctivement je me mit a courir,ou du moins essayer, dans cet direction les dagues dégainée. J'arriva a une petite cabane et y vit un homme y sortir en courant, je pénétra dans cet vieille cabane la porte étant déjà ouverte. À l’intérieur une odeur si familière envahissait la pièce ...la mort...j'humecta l'air plus en profondeur et me mit a rire d'un ton psychopathe en voyant l'homme sur un lit avec une hache fixer sur ce qui restait de son visage. Les rires se turent pour laisser place a une sorte d'incantation dans une langue inconnu. La carcasse de l'homme s’entrouvrit dans un éclat d’entraille et de sang pour laisser place a un squelette qui se délogea la hache de son crane et la prit en guise d'arme .Je sortit de la piece avec mon nouveau compagnon d'arme et dirigea en direction de l'homme qui était dans cet pièce précédemment au pas de course avec comme seul idée, vengeance!

J'eût un sourire amer. Le pauvre était totalement obnubilé par ses idées de vengeance et de violence inutile, et je flairais une folie naissante, comme une graine semée depuis longtemps qui n'attendait que le bon moment pour germer...

-Mon esprit combatif? Je suis mort. Le combat ne m'est plus d'aucune utilité. Des années d'errance changent une personne, Invilass. En revanche, j'ai profité de ma sentence de suicidé pour réfléchir, aiguiser mon esprit, ma seule arme dans mon univers éthéré. Mais, détrompe toi, je n'ai pas abandonné la vie. Je marcherai de nouveau sur ces terres; je dois simplement trouver un moyen...

Je sentit une présence emplie de haine derrière mon ami. Sans même regarder dans cette direction, sans presse et sans panique, comme si c'était la chose la plus naturelle au monde, je lui dit:

-Derrière toi.

Aussitot que l'être Éthérée eut fini sa derniere phrase une hache vint se planter sur un arbre devant le visage de Invilass,un long rire noir et rauque provenant de la noirceur de la foret . Une incantation d'une langue inconnu resonnait dans la foret suivi , d'une voix forte : VENGEANCE!. Un squelette balafré sortit brusquement de la foret et se jetta sur Invilass qui n,eut pas de mal a l'éviter et le jeter au sol .C'est alors qu'il entendit un mot susurrer a son oreille qui lui glaca le sang: vengeannnnnccccee! Une dague apparu a la gorge d'Invilass suivi d'un homme avec un masque squelettique grisatre. Il sentit l'homme respirer fortement sa peau.

-hhhhhhhmm tu a visiter les plaine des morts...ton odeur est si familière. Hmph, je vais t'y renvoyer ainsi que ton coéquipier ET VOUS Y RESTEREZ FLACTIEN !!

sur ces mots je dit un mot dans une langue incompréhensible et le squelette délogea la hache de l'arbre et tenta de frapper l'homme incroyablement calme au visage.

La hache traversa la vapeur bleu-blanche dont était composé le fantôme, qui se sépara en volutes avant de reformer le visage toujours calme, quoiqu'un peu exaspéré.

-Il est difficile de tuer ce qui est déjà mort, très cher. En revanche, je crois que mon ami ici présent se fera un plaisir de vous massacrer.

Je détournai le regard du combat pour admirer le ciel étoilé de la nuit.

-Ah, et petit détail: nous ne sommes pas flactiens et je crois que, à ce sujet, nous pourrions très bien nous entendre...

La hache traversant mon ami me laissa perplexe. Il n'était donc pas réellement présent... je commence à comprendre. La voix d'une tierce personne retentissait alors à mes côtes, mais qui était-ce? Les échos de la morts m'appelait de nouveau. Pourquoi ce monde était-ils si cruel? Les paroles n'était qu'un flux d'ombre à mes oreilles qui, somme toute, avait fuit comme mon âme en un autre lieu.

// Dans mon esprit \\

Des plaine azuré, un château de marbre blanc et le vent battant ma cape de son souffle alors que je fait mon chemin jusqu'aux château. Deux chevaliers squelettique sont posté au porte noir qui orne la façade du château. Ils lèvent leurs hallebarde à mon passage et me font signe d'entrer. Les portes s'ouvrirent alors dans un grincement sinistre. Un long hall mal éclairé s'offre alors comme unique voie.

// Dans la foret \\

Invilass disparait alors dans un nuage d'ombre, réapparaissant devant le tas d'ossement. << J'ai déjà vidé ta chair, alors tes os ne me feront point trembler>> un coup de hache et un autre. Mais l'être d'ossement n'étais pas suffisamment rapide pour rivalisé avec les talents d'assassin de ce Invilass au regard vide. À l'instant ou la tête du mort vivant roulait au pied de ce nécromentien et que la dague de l'assassin lui faisait face, Invilass lui jetas un regard de son unique œil visible.

-RAhhhhhh Qui est tu? Qui, qui, comment ose-tu pourfendre tes enseignement en cette façon! Immondice, RAHHHHHhhh hérésie, créature vil et putride! Ton ignorance même t’abandonneras le jour où tes erreur te coûterons la vie. Vie qui pourrait être si précieuse pour ton maître! RAHHHHHH. Qui est-tu pour ainsi choisir qui doit mourir et qui ne le doit pas? La mort en soit est une bénédiction que lorsqu'elle est profitable ou necessaire! RAhhhh Lâche nomme toi! rahhhh Votre vie, votre mort, rien de tout cela n'a de véritable valeur! Le ciel, dans sa bleuté abstraite, ne mériterait-il pas sa couleur bleu qu'en sachant pertinemment que le rouge pourrait le teinter? Rahhhh être stupide!

Je tournais autour de lui et glissais le plat de ma lame sur sa gorge, à chaque râlement de gorge une petite coupure s'ouvrait dans la peau de l'être sombre.

chaque fois qu'Invilass passait sa lame sur ma gorge de leger morceau de peau venait a tomber avec son mouvement de lame.Qui étais-je? Il allait vite le decouvrir.D'un vif mouvement mon corps se tourna sur lui-meme gardant mes jambe encré a sa position initiale pour venir repousser la lame d'invilass avec ma dague dans ma main droite.Pendant que la le bras de celui ci suivait le mouvement de mon bras libre je vint le repousser plus loin et dans son déséquilibre je me remit en position defensive devant lui tout en incantant a nouveau.Le squelette en tas d'ossement sur le sol se remit sur pied, sur ce je m'écria:

-QUI SUIS JE ? NIHEHEHE JE SUIS MORDACIUS fils du grand Kougrual! JE suis un fier représentant du prochain dieu supreme de ces terres maudites TENEBROS! JE suis le berger de la mort elle meme! J'aide le betail a trouver leur chemin vers les plaines de la mort au coté de tenebros car plus nombreux sera les victimes....plus fort NOUS EN RESSORTIRONT NIHIHIHIHI!

Mordacius fixait intensivement Invilass tout en jetant un vif coup d'oeil au dessus de mon epaule:

-Je cherche les flactiens qui ont reduit en ruine mon bateau, les CHIENS QUI MONT DÉTOURNER DE MA QUETE! Mais vous sembler affirmer n'avoir rien a voir avec ces choses. Hmph! PROUVER LE ou je vous chatierer dans le royaume de la mort et surtout toi!

Disait t-il en jetant son regard lugubre dans celui d'Invilass.

Je m'avançai sans peur vers le nécromancien. Désinvolte mais ferme, je lui dit:

-Pauvre misérable! Tu n'as aucune autorité, directe ou indirecte, dans mon univers. Tu ne connais rien à la mort; tu n'en est qu'à tes premiers pas, laquais. Je ne suis pas un vulgaire cadavre que tu commande à ton gré, je suis bien plus puissant. J'ai été créé dans le sang et dans une magie bien plus noire que tu ne peut te l'imaginer.

Soudain, j'entrai dans le squelette. Ses yeux se mirent à briller d'un bleu ciel intense et le nécromancien en perdit tout contrôle. Je parlai à travers son corps osseux.

-Voilà ce que je fais de ta pitoyable sorcellerie. Maintenant, cesse ces menaces sans fondement et écoute moi. Nous n'avons rien à voir avec ces tuniques rouges. Mon objectif est de prêter secours à mon ami qui en à grand besoin. Si tu te met en travers de notre chemin, nous te détruirons comme nous avons détruit tant d'autres malades en quête de puissance dans ton genre. Soit tu nous aide, soit tu pars. Décide, je n'ai pas toute l'éternité.

Le squelette ajouta, avec une touche d'humour caractéristique au capitaine déchu:

Enfin... Si, en fait. Mais lui, dit-il en pointant Invilass, c'est une autre histoire.

Mordacius fixa le sol longuement perdu dans ses pensée.

// hmmm cet avorton a du culot, il n'a encore rien vu des pouvoirs que mon seigneur puisse nous faire acquerir mais il n'avait pas tord, si j'accepte de les aidé....mon orgueil sera un peu amocher mais d'un autre coté il sont les seuls sur ses terres maudites a pouvoir m'aidé a retrouver chemin vers arkol...Hmph pardonner moi seigneur ténébros pour ce moment de faiblesse...//

Le nécromencien se retourna vivement vers le squelette posseder et le fixa intensivement .Puis dite d'une voix sec.

-Nous pourrions faire une sorte de marché qu'en dite vous? Vous me conduiser sur Arkol et je vous aiderer vous et votre compagnon dans votre quete. Garder a l'esprit que j'accepte uniquement parce que ces terres me sont inconnus et que le temps me manque. Je ne suis en aucun cas votre allié....seulement ....bref comme vous voulez croire. Si vous trahissez ma confiance votre ami rejoindra ma collection et votre âme sera pourchasser par des creature au pouvoir aussi terrifiant que ténébros lui meme.

disait-t-il en caressant du bout des doigt son collier.Arne puis apercevoir plusieurs oreilles de plusieurs race differentes embrocher sur un mince fil entourant le cou du jeune nécromancien. Puis rangea ses dague dans sa ceinture tout en gardant a l'esprit que l'homme derriere lui pourrait tenter une attaque furtive dans mon dos. Mordacius se deplaca lentement vers le squelette animé et lui toucha le front en prononcant faiblement quelque mot d'une langue morte puis Arne fu rejeter du squelette qui tomba dans un grand bruit d'os fracasser et se consuma dans une fumée noir.

-Alors par ou commence t-on?

Invilass regardais le bois d'un regard vide, la proposition de Mordacius ne semblait pas l'avoir atteint d'aucune façon. Il restait là, le regard vide, contemplateur. Un goûte d'un sang violacé perlait depuis son unique œil démasqué.

// Dans mon esprit \\
En ce hall des torches s'allumèrent au mur. Depuis un escalier, qui jusqu'alors m'était invisible, un homme s’amena à mon niveau d'un pas résolut. Il portait des armoiries que, malgré une familiarité apparente, je ne savait reconnaître parfaitement. Mais j'étais certain de les avoirs déjà aperçu. L'homme, de noir vêtu, fit son chemin jusqu'à moi et m’adressa la parole...


// Dans la foret \\
Je me glissa à genou et glissa ma lame hors de mon fourreaux, l'appliquant sur mon bras.
-Vos parole sont emplis de sagesse. La vie ne peut subsister sans la mort, la mort ne peut subsister sans la vie. Le sang des protecteurs doit couler car dans leurs croyances ils renient la vie elle même! La mort à une douce beauté ou se mêle mélancolie et espoir. La chair de la proie donne de la force au prédateur, le sang du prédateur nourrie les bestioles et les bestioles nourrissent la proie!

Je fis alors une incision dans ma chair, laissant mon sang noirâtre couler sur le sol. Glissant ensuite sur le sol puis perdis connaissance.

Mordacius regarda l'homme se parler seul le regard perdu dans la pénombre de la foret puis dégainer sa dague se tailler le chair et tomber a la renverse. Je ne comprenais pas ce qui venais de ce passer et pourquoi il avait fait se geste. Le regard plein de question je me retourna vers l'homme éthéré.

-....Pourquoi a t-il fait cela? votre ami n'a l'air d'avoir aimé son voyage au pays des mort! Hmph hehehehe.

//dans mes pensée//
-sa le ronge de l’intérieur...devrai-je passer et ressembler a se dégénéré si je veux accomplir la tache de père?.... SOIT!

-je sent que cet homme va nous causer un lot d'ennuie et nous ralentir péniblement sur ces terres. Etes vous certain de tenir a cet homme? Je pourrais l’expédier vers celui qui l'attend depuis un moment deja.

Je me pencha au dessus de l'homme évanoui et l'examina de plus près en attendant la réponse de l’être spectral.

Invilass s'écroula sur le sol, et une flaque de sang noirâtre s'élargissait sous lui. Je m'écriai sur un ton exaspéré:

-Oh, merde! C'est pas le moment de sucrer les fraises*!

J'écoutai ensuite les questions du nécromancien. Je repris sur un ton de reproche:

-Mais vous êtes totalement moisi de l'intérieur! (À ce moment là je ne me rendais pas compte à quel point j'avais raison, et dans tous les sens...) Écoutez, je reste à ses côtés, peu importe ce qu'il adviendra. Si vous tenez vraiment à revoir les forêts d'Arkol, vous allez devoir m'aider à le transporter...

Je fis une pause, attendant que l'autre me prête toute son attention.

-Bon, finalement, hum... il faudra que vous le portiez à vous seul, car cela m'est... impossible, dis-je en désignant platement le semi-cadavre flasque qui convulsait maintenant de manière ridicule dans son propre sang.

J’esquissai un sourire de sympathie poche à l'intention de Mordacius.

*Tomber dans les pommes

Mordacius regarda Arne longuement puis tourna sa tete vers le corps inanimé d'Invilass se vider de son sang.

// dans mes pensé/
.....ARKOL....ARKOL....pour....pere!

-Je voit, se devra etre moi qui doit se tapper tout le sale boulot... J'espere pour vous que vous ne me menter pas et que vous sacher le chemin pour Arkol!

Sur ce Mordacius se pencha et agrippa Invilass par un pied et traina l'homme ,face contre terre. Derriere son masque Mordacius se marrait de cet scene amusante.

- Quel est notre destination?

Je regardai piteusement mon ami inconscient.

-C'est pas tout à fait à ça que je m'attendais... Mais je suppose que ça fera l'affaire pour le moment... BON! Arkol, Arkol, dis-je en furetant du regard dans tous les sens.

Je regardai mon avant bras, avant de me raviser en marmonnant: - Merde, j'ai plus ma boussole intégrée... vivement que je me fasse reconstruire...

Je passai quelques longues minutes à fixer le ciel étoilé, à renifler bruyament l'air et à inspecter chaque arbre. De temps à autre, je marmonnais des observations improbables à moi même. Soudain, je m'avançai vers un croisement du sentier. J'attendai que Mordacius me suivit, avant de lui dire, un sourcil relevé:

Arkol se trouve-... (dis-je avant de me retourner brusquement et de pointer la direction opposée) par là!

Comme l'aurait dit un vieil ami à moi: Allons-y!

Mordacius observa longuement Arne et vit de l'hésitation sur son visage transparent et dans ses mouvement, cela vint troubler fortement mon esprit noir....il ne sais pas plus la direction que moi....ou du moins, sa location précise. Reconstruire? Mais de quoi parlait-il?

-Vous m’avez l'air hésitant. J’espère que vous vous souvenez du chemin, juste le fait de tenir cet indigène dans mes main est une insulte a mon égard! Dans le cas contraire...bref vous savez ce qui arriverais.

Mordacius suivi d'un pas incertain Arne dans la direction qu'il avait indiquer.

- Tout a l'heure vous avez dit que vous souhaiteriez que quelqu'un vous reconstruise. Que vouliez vous faire allusion avec ça?

J'écoutai la question du sombre personnage. Après tout, il mérite bien une explication. Je me mis à flotter de reculon, les bras croisés, pour faire face au nécromancien.

-Ah, par ou commencer...

Comme vous l'avez sûrement déjà constaté, je ne suis pas votre habituel revenant. Avant de continuer, il serait pertinent de tout d'abord savoir d'où je viens. Je ne puis vous en donner l'emplacement, car j'ai effectué un voyage de plusieurs centaines de lieues à l'aveuglette avant de me retrouver ici. Enfin bref, chez moi, la civilisation, est comment dire... un peu plus évoluée que la vôtre (sans rancune...), surtout au niveau technologique. Nous travaillons le cuivre comme nul, et nous le façonnons en machines capables d'effectuer diverses tâches à l'aide de la vapeur; l'eau à sa forme aérienne si vous préférez. Un quasi culte est voué aux machines et à leurs inventeurs, car ils ont permis l'épanouissement de notre société. Les religions sont inexistantes, faute de leur avoir trouvé une utilité autre qu'être des illusions collectives. Fait qui vous intéressera peut-être, la nécromancie y est pratiquée d'une toute autre manière, et légalement en plus.

Je regardais fixement la tête d'Invilass qui se heurtait à un caillou de temps en temps, effectuant un petit bond à chaque fois.

-Ce qui nous ramène à moi, Arne Pelham, esprit errant. Lorsque j'étais en vie, j'ai payé pour les services d'un nécromancien. Il m'avait promit l'immortalité, et il a effectivement tenu sa parole. Grâce à un de ses sortilèges, il a, de manière permanente, lié mon âme à ce monde. J'ai également reçu l'essence vitale d'un sacrifice, pour assurer ma suprématie sur les esprits 'normaux', ainsi que pour avoir le don de posséder un corps vierge de toute âme (ce que j'ai fait à votre misérable squelette). Ensuite, j'ai pu intégrer un corps mécanique fait de bois, de cuivre et de toile inventé par l'un de ces admirables savants, et continuer à marcher parmis les vivants. Or, il y a quelques années, l'esprit du sacrifice est devenu plus fort et il m'a fallu détruire mon enveloppe pour m'en séparer, et ainsi mieux le ré-assimiler.

J'essquissai un sourire narquois.

-Des questions...?

Derriere son masque squelettique le necromancien ecarquillait les yeux face a une telle science.Il n'y comprenait quasi rien mais lorsque l'esprit parla d'une nouvel sorte de nécromancie cela attira toute son attention sur les parole de ce dernier. Je buvait chaque parole.

//dans mes pensées//
cela pourrait etre des pouvoir que meme pere n'aurait pas acquis! Il serait si fier!Il faut que je m'informe plus profondement!

-Je n'ai pas saisi tout ce que vous avez dit sur la science qui vous anima autrefois mais votre nécromancie elle c'est tout autre chose! Parler m'en plus en profondeur. Qui était le nécromancien qui vous a fait cela? Comment a t-il fait et ou je pourrais le rencontrer?Est-il encore vivant?Est-il en mesure de m'apprendre ses sorts? ALLER CRACHER LE MORCEAU!

La respiration du sombre personage accelerait et devenait de plus en plus forte et il explosa momentanement et tira d'un coup sec sur la jambe de la depouille d'Invilass qui racla plusieurs branche dans un grand son de craquement et s'arreta net.

- du....calme......Arkol...pouvoir....pere...

La respiration se calma et Mordacius continua d'avancé d'un pas certain comme si rien ne se serait produit.Mais il avait encore la tete tourner vers le spectre attendant reponse a ses questions.

Je relevai un soucil. Sa réaction ne me surpris guère; Je me méfais des personnages instables assoifés de pouvoir tel que lui. Je lui répondit sur un ton ferme ne laissant pas place à la contradiction:

-Vous n'êtes pas prêt à recevoir de telles connaissances! L'évolution de ma société s'est faite progressivement, permettant de fixer les contraintes morales à chaque nouvelle avancée. Et je doute que le sens moral soit dans vos priorités... Je ne parlerai plus de ma culture, cela semble vous intéresser un peu trop à mon goût.

Parlez-moi plutôt de vous. D'où venez vous? Comment en êtes vous venu à être nécromancien?