Un nouvelle espoir pour le village de Minor ( Calendhrim)

Tout prêt de la tente du demi-elfe, on pouvais y apercevoir les bagages encore présent. Parmi les bagage, on pouvais y voir sa lance, son épée longue. Habituellement il ne se séparer rarement de ses armes et encore moin en Arkol.

Maxios s'est absenter, le temps d'allez faire une petite visite au cercle druidique, afin d'y prier Vérénor.


''Oh grande Vérénor, Grande déesse de la vie et de la nature, entend ma prière.
Moi ,Maxios Elvran , te demande la permission de cueillir une jeune pousse d'arbres et de pouvoir la replanté à Minor
et ainsi rembourser la dette envers l'arbre qui a sacrifier sa vie, pour me redonner la mienne. Je sais que l'arbre en question
n'a pas été sacrifier dans cette ville, mais bien a Eralas, mais ce peuple a besoin de voir sa forêt se restaurer.

Je te demande également ta protection ainsi que ta bénédiction lors du voyage en mers, Fait en sorte que mon chemin ne croise pas celui des Flaxiens...Amen''


Suite a cette prière, une légère éclaircie se fit dans la forêt, et dans la lueur du soleil, Maxios appercu une petite repousse d'Arbre prêt d'une de ses fleur Favorite, fleur qu'il avais donné a un sage du village de minor et qui en fit le symbole du village en l'honneur des Calendhrims ( Et oui, c'Est vrai )

Isaac se leva quand il entendit quelqu'un approcher son campement. Il était arriver tard dans la nuit, tout le monde dormais ou presque. De tout les campements, les Flaxiens semblait avoir ignoré le camps des elfes. Voilà une semaine depuis l'assaut sur Eralas. Aucun signe de dominance Flaxien. Magus a été detruit une fois pour tout....

Il vit Koizen repartir vers sa partie du campement, reparé ses armes. Isaac, quant a lui, pris une chaudiered'eau de pluie fraîche et lava son corps. Après tout a quand remonte la dernière fois? Il rafraichissait son corps et son esprit. Flaxiens, Tenebros, Rashek, Hashut.... Soran. Ce mage noir.... Sken, l'abberation mort-vivant.... Il ne savait pas pourquoi ce mortel semblait si dangereux...

Il s'habilla, lentement. Minor, etincelle de vie dans ces ténèbres envahissant... Isaac sorti de sa tente. Et se dirigea vers Koizen. Il constata les bagages de Maxios.

-Alors, je ne me suis pas trompé dans ma ponctualité. C'est bien aujourd'hui que ous allons a Minor. Les yeux noisettes du psion regarderent les lames du druide. Tu sembles songeur sur tes armes, pourquoi?

L'elfe sorti de sa transe habituel lorsqu'il ce concentra à la tâche qu'il c'était donner, déposant le produit servant à affûter les lames, il leva les yeux et croisa le regard de son ami psion. Il remarqua que lui aussi avais un air songeur depuis un certain moment mais moins apparent que les autres, puis l'elfe ce releva et rangea ses sabres au fourreau ainsi que les produits dans la boite.

Il fit signe à Isaac de le suivre en marchant et entama la discutions sur le voyage qu'ils allaient faire sous peu.

- Certes mon ami, c'est aujourd'hui que nous allons retourné en Minor voir la situation et y apporté une fois de plus notre aide à ses habitants si nécessaire. Sinon pour ma part la Cours Elfique m'a charger d'une autre mission entre-temps et je doit passé justement par Minor.

Toute en rangeant ses affaires, il repris son sac de voyage et sa cape de poil noir. Il l'ajusta et la porta, en ce début de journée le temps était froid, puis ce retourna vers Isaac, caressant le tranchant de sa lame à travers le fourreau il ce rappela justement ce que le Psion lui avait demander plus tôt.

- Et aussi ... oui je suis songeur à propos de l'une de mes armes en faite ... sa fait plus de 107 longues années que j'ai appris à me battre, j'ai participer à ma première guerre lorsque j'avais à peine mes 20 ans et je trimbalais à mes côté une vielle épée à deux mains sans m'avoir jamais soucier d'un nom à donner à cet lame ... mais maintenant que je suis Chevalier depuis désormais près de 63 ans , j'ai reçus cet lame en héritage de mon paternel (il lui présenta sa lame elfique) et je ne lui ai pas trouvé de nom propre à elle en plusieurs décennies de service.

L'elfe sorti de son fourreau l'arme en question, histoire qu'Isaac puis la voir d'un oeil plus expert que dans son étui. La lame franchement ré-affuté, nettoyer et polie luisait sous les premiers rayons du soleil qui passèrent à travers les arbres.

- Mon père lui avait donner un nom, mais je ne m'en rappels plus ... tandis que mon père tiens encore l'arme de prédilection dans la famille depuis maintenant près de 900 longues années, j'ai un peu la honte de me dire que je n'ai pas encore réfléchi à comment allais-je nommé ma lame , c'est un peu comme avoir un enfant mais n'avoir jamais songé à lui donner un nom.

Il ce mis à ricaner, son réinterprétation de la situation avais une certaine cocasserie, en fait il ignorais si le Psion savais de quoi il parle, mais il en jugea que oui. Tout les nobles nommèrent leurs épées, surtout les chevaliers, n'importe quel guerrier prononcer digne de ce nom avais un nom pour leurs fidèle lame. Elles sont comme leurs âmes soeur, l’extension de leurs bras pour défendre et protéger ceux qu'ils aiment. Ne pas lui avoir donner un nom plus tôt c'était comme ce battre dans l’anonymat et dans l'ombre, bien que cela semblais comme des détails du à la qualité de ses compétences au combat il ce dit tout de même que cela avais une importance à ses yeux ... quel était le nom que son paternel lui avais donner pour son arme ?

Le temps avança et ils devraient ce mettre en route bientôt, Maxios devaient ce dépêcher pour ne pas manquer le bateau en direction du village qu'ils avaient tous sauvé.

La politique n'avait pas d'importance en cette guerrre pour Isaac. Donc la mission de la cour elfique donné a Koizen, ne l'interresserait pas trop. Mais certes, il était toujours bon de savoir ce qu'un allié va faire pour ne pas êtres nuisible.

-Quelle est cette mission? Demanda le psion, légèrement curieux.

Il ecouta les paroles du druides. Effectivement, après si longtemps au combat avec la même arme, c'etait comme une relation de couple, du moins pour le psion qui donnait une partie de son essence psychique en son arme. Quand il regarda l'etat de l'arme elfique. Le maitre-psion sorti sa lame. Comme si elle fut forgé hier.

-Je comprends vos pensées....

Est-ce qu'isaac devrait baptiser son arme aussi? Avoir un meilleur lien? Il ne savait pas. Puis Maxios arriva.

-Meneg Suilad Maxios, salua le psion, en fait, vous aurez deux compagnons de voyage pour Minor.

Voyant Maxios arrivé au loin, l'archi-druide rangea sa lame au fourreau, il fini donc de discuter avec Isaac, il lui résuma qu'il devais faire un recensement à Minor et par la suite devraient enquêter dans la région avec quelques soldats de la Cours Elfique sur une piste menant à un campement Flaxien, le but étant de calculer ses directives, emplacements pour l'envoyer à son chef militaire. Cercesse appuya Orisi, leurs allier dans cet guerre ouverte contre l’envahisseur. De plus de récente découverte avait été faite concernant la marque de Rashek sur les commandants en pouvoir de la légion Flaxienne, ils devaient en capturer un pour y voir ce qu'il ce passerais au contact de cet marque.

L'elfe avait rapidement détailler l'ordre de mission, Isaac en savait la base tout au moins. Lorsqu'il voyait le psion tirer lui aussi son épée pour la contempler il ce demander si lui aussi n'avais jamais songé à nommer sa lame ... peu être portait t-elle le nom de son esprit, de sa source de pouvoir ... elle pouvais disparaître et réapparaître de manière spontané et au désir de son utilisateur. Une chose redoutable si l'on voulais y envoyer un assassin dit ''inoffensif'' contre un ennemi, l'elfe ce dit qu'il n'osa pas espérer y voir un jour ce genre d'adversaire à leurs portes, les psionismes sont redoutable lorsque leurs pouvoirs sont utiliser de mauvaises manières. Magus en étaient la preuve, il avais réussie à user suffisamment de son mental pour avoir accès à de nombreux pouvoir venant de l'esprit, cumuler avec ses pouvoirs d'archi-mage et de Liche, il en fût un terrible adversaire.

Maxios était maintenant à leurs coté, Koizen le salua comme à son habitude de la traditionnel révérence chez les elfes.

- En effet Maxios, nous partons tout les trois ensemble. Beaucoup d'autre des notre ont affaires ailleurs et nous sommes les seuls à retourner à Minor pour l'heure, si d'autre Calendhrims veulent ce joindre à nous ils sauront ou nous trouvé. Comme j'ai plus le constater ce matin, vos bagages sont déjà prêt ? Nous pourrons donc nous mettre en route bientôt sans plus attendre.

Le chevalier druidique ramassa son bagage, vérifia s'il avais tout et fit une rapide révision dans sa tête des choses à apporté. Voyant qu'il ne manquais rien, pas même un peu d'or pour la route, il fit un signe à ses deux compagnons et leurs dit qu'il les attendrais ici et de lui faire signe lorsqu'ils seraient prêt à partir.

- "Meneg Suilag Koizen" répondit le Templier en hochant la tête avec respect pour l'Archi-druide.

Le dévot de Talinas salua aussi d'un hochement de têtes ses autres frères Calendhrim, mais son regard revint aussitôt à celui qui s'était adressé à lui le premier.

-"Malheureusement non, je ne serai pas du voyage mon ami. Il faut que quelqu'un reste en ces terres pour veiller à ce qu'en votre absence les forces des ténèbres ne progresse pas trop, et que les Flaxiens ne profite pas de notre absence pour causer autant de dommage ici qu'en Minor. Non, même si j'aimerais beaucoup retourner à Minor pour aider les habitants à se relever, je ne suis pas là pour cela. À vrai dire je suis ici pour vous parler, avant votre départ."

Le Théurge Blanc jeta un regard gêné vers ses bottes, et poursuivit d'une voix un peu incertaine, sans regarder directement le charismatique personnage dans les yeux.

-"J'aimerais vous parler à propos de votre soeur, mon apprentie... Vous ne serez probablement pas surpris d'apprendre que j'ai développer de profond sentiments envers elle, bien plus profond que les sentiments unissant habituellement un maitre et son apprentie. Comme je ne suis qu'un simple humain, qui plus est d'origine des plus modestes, je sais que je ne suis pas digne d'avoir des vues sur une demoiselle de la qualité de votre soeur. Et j'aurais probablement réussi à m'en accomoder, seulement voilà... Votre soeur m'a avouée ressentir la même chose pour moi. Et sachant ceci, je serais bien incapable de lui refuser mon amour, même si je suis conscient qu'il sera probablement très mal percu par beaucoup d'elfes, et peut-être même vous... Je pense qu'il vaut mieux que je vous en parle directement en personne, quitte à subir vos foudre, que de tenter de vous le cacher et que vous l'appreniez d'une autre façon..."

Le templier attendis une réaction de la part de l'Archi-Druide. Lui qui était capable d'affronter sans trembler des créatures démoniaques horribles, et même de faire face à un avatar de Ténébros, était terrorisé a l'idée d'une réaction de rejet de la part de ce frère d'arme.

( H-G : On l'avait tellement prédit XD)


Maxios entendit malgrés lui la discussion...Et il pensant tout de suite a son enfance, le rejet de la société elfique lorsqu'il étais jeune enfant,et la marque que tout bâtards doivent endurer pour le restant de leurs vie, et ce, depuis leurs plus jeune age...Mais enfin bref, il ne pu s'empecher de ressentir de la joie pour l'union entre Talmir et Fergus, malgrés les mépris que cette relation pourrais engendrer. Si Koizen s'opposerais... le demi-elf se sentirais insulter indirectement. Car il très fier d'être un représentant de l'union Elfique et Humain.

Maxios regarda Talmir, leva le pouce en l'air discrètement pour éviter que Koizen le vois, et lui fit un clin d'oeil.

Aux paroles de l'elfe, le regard du templier se fit lointain, alors qu'il contemplait une nouvelle fois cet avenir qui risquait fort d'attendre Fergus lorsqu'il serait rappelé auprès de Talinas alors qu'elle-même serait encore toute jeune à l'aube des critères de sa race. Il avait déjà visualisé ce moment moult fois déjà, et à chaque fois cela lui brisait le coeur d'imaginer qu'il pourrait causer de la souffrance à celle qu'il aimait tant par son trépas. Mais il était un dicton qui circulait parmi les hommes, et qui sait peut-être même parmi les elfes: Mieux vaut avoir vécu et perdu l'amour que de ne jamais l'avoir connu.

-"Je suis conscient mon ami que ma vie ne dureras probablement à vos yeux que l'instant d'un simple battement de coeur. Et que ma mort risque de causer une grande peine à votre soeur lorsqu'elle viendra, bien trop tôt, me réclamer. Et je comprend que vous souhaitiez la protéger, éloigner le chagrin d'elle, tout comme je souhaite moi-même le faire. Mais si elle éprouve les même sentiments que moi à son égard, et que, pour tenter de la protéger du chagrin, je lui refusais mon amour... Ne croyez-vous pas qu'ainsi je la ferais souffrir tout autant? L'amour est un sentiment à la fois merveilleux, mais aussi des plus dangereux. Il n'est pas d'amour qui soit sans risque. Imaginez un instant que votre soeur se soit plutôt épris d'un autre elfe... Quelle garantie peut-il y avoir dans ce monde troublé dans lequel nous vivons que ce dernier ne tombera pas vaillament au combat contre des envahisseurs flaxiens bien avant moi, et ce malgré le fait que je sois un simple humain. Croyez-vous que la douleur de votre soeur serait moins grande dans un tel cas?"

Le templer plongea à nouveau le regard dans celui du druide, et on pouvait aisément y discerner la flamme de la passion.

-"La seule chose que je puis vous assurer, Koizen Galanodel, c'est qu'aussi longtemps qu'une étincelle de vie brillera en moi, le brasier de mon amour pour votre soeur fera passer pour une simple braise mourante le feu de n'importe quelle forge naine de ce monde! Tant qu'un souffle de vie m'habitera, ce souffle lui sera dévoué. Et que si cela m'est permis par Talinas, même une fois mon trépas avéré, je veillerai sur elle et continuerai à la protéger."

Le templier haussa les épaules.

-"Avec l'avancée flaxienne, la montée en puissance du panthéon ténébreux et les plans démoniaques qui ouvrent de plus en plus de fissure vers Arkol, il n'est pas impossible que je sois celui qui ait à pleurer la mort de celle que j'aime. Et je sais que cette mort me serait encore plus insupportable si je n'avais aucuns doux souvenirs d'instants tendres en sa présence pour amoindrir la douleur de la perte. Nul d'entre nous, sauf peut-être les dieux, ne peuvent prédire avec certitude l'instant de la mort de chacun de nous. Et bien que je n'ais jamais cherché l'immortalité pour moi-même, n'oubliez pas qu'en plus d'être un puissant membre du clergé de Talinas qui se voit accordé par moment d'impressionnants miracles, et d'être un sorcier possédant une puissance arcanique respectable, je suis aussi un alchimiste accompli. Et il circule des rumeurs dans les cercles alchimique sur une fabrication alchimique rare, capable d'octroyer la vie éternelle. Si cette décoction existe réellement, je m'emploierai à la rechercher, non par orgueil ou par envie de puissance, mais uniquement pour tenter d'épargner à votre soeur le plus longtemps possible la douleur que ma mort pourrait lui causer."

Talmir secoua lentement la tête, comme pour s'éclaircir les idées.

-"Bien sur peut-être cette potion, cette pierre philosophale, n'est-elle que chimère. Et même si ce n'est pas le cas, peut-être échouerais-je à en percer le secret. Mais peu importe si ma vie devait s'achever demain ou dans dix-mille ans... Quelle qu'en soit la durée, cette vie sera toujours dévoué à votre soeur, et ce même si vous décidiez de vous y opposer. Mon coeur lui à déjà été offert, et il ne m'appartient pas de le reprendre."

Arriver à l'auberge, Maxios déposa ses bagages ainsi que le jeune arbre qu'il doit transplanter. Il se pencha pour attacher ses bottes et en se relevant, l apperceva le jeune garçon qui a aidé les Calendhrim a reconstruire l'église. Voyant qu'il voulais taper dans les mains du demi-elfe, Maxios se prépara a lui tapé dans les mains ; * CLAP* Maxios se mit a tomber sur le dos et fit une roulade par derrière ( il faissais semblant, tout en faisant attention pour ne rien accrocher)


- WOW bonhomme, tu est toujours aussi fort qu'a la dernière lune ( disait-il en riant).
-Comment va tu ? Tes parent vont bien? Et puis, les gens t'ont-il appris qui est Vérénor ?

Isaac resta sur le coté du bateau, a regardé la mer. Il aimerait tant que les choses soit souvent aussi paisible. Mais si c'etait le cas, il sera a la cité d'emeraude avec Emanuelle, et son frere Mack. l'orsque le bateau accosta, le psion vit Istari dans son armure dorée. Il aurait tellement aimer aider durant cette intrusion. C'est a se demander si ce mage noir ne fait pas affaire avec le baron sanglant. Il lui fit une salutation de loin et suivit les autres jusqu'a l'ainéee du village.

Il vit Maxios tapper dans la main d'un des enfants, et blaguer avec lui. Un sourire en coin, Isaac suivit Koizen pour rencontré le grand chef.