Congé Impériale en Arkol (Pour tous)

Les deux pieds sur la table, son grimoire sur son torse, le haut du dos contre un mur. Deavon se sentait bien, il était de retour en Arkol. Il venait juste d'arrivé, son maître lui avait laisser un congé indéfini. Voila cinq ans depuis sa rencontre avec son grand-père, moment qui changea la vie du tiefling a tout jamais. Les gens le regardait étrangement, et il n'en avait rien a faire. Tel était la voie flactienne, doute, corruption, mensonge, pouvoir. Mais personne voyait Deavon comme un obstacle pour ses projets de carrière.

Il étais dans se village reconstruit, cette avant poste impériale. La ou on disait que la résistance tenait toujours mais d'a peine. Tellement que les tentatives des rebelles était considéré comme une rencontre avec une bête sauvage que l'on mis a mort a la vue. Mandolin, était l'homme recherché. Étrange, le nom était familier. Mais encore sur cela, Deavon n'en n'avais rien a faire. Il s'étira avec un bâillement a ne plus finir, ce qui provoqua le silence de tout le monde autour et des regards haineux. Rien a faire.

Il sorti a l'extérieur et s'étendit sur le bord de la falaise. Le soleil d'été sur sa peau, ah les congés! Pourquoi revenir ici? Nostalgie? Un peu. Il voulait juste voir qui restait dans la ténacité libérale de cette rébellion. Il regarda en bas de la falaise en y voyant des goéland se chicaner pour un crabe qui profitait du chaos et de la haine des deux prédateurs pour vivre. La résistance était comme un crabe, mais le deuxième goéland, Orisi, était trop loin pour que le plus gros tente de le dévorer. Et juste pour faire figure a ses pensés, Deavon envoya d'une incantation infernale un trait de veut qui fit fuir l'un des deux oiseaux. L'autre allait servir de repas dans le fond de l'eau.... au même crabe qu'il voulait dévorer plutôt.

Chaos, destruction, vie, ordre. Toute ces notions était un tout. Si l'un n'existerais pas l'autre non plus. Tant qu'Orisi et les Elfes tenaient bon a leurs défenses, l'empire ne pourrait pas bien égaliser ses forces partout dans le monde. Laissant une chance minime a nos croyant d'un monde nouveau et bon. Ce qu'ils ne realiseront surement jamais. La joie des un fait la tristesse des autres. Beaucoup ont été embarquées dans les forces flactiennes par obligations. Si il meurt par les rebelles, des familles seront en deuil, non envers les flactiens, mais envers les tueurs de leur proches. Ce qui aura pour réaction, que les gens vont se joindre par décision au force Impériale.

-Manakor, tu es une vilaine déesse.Dit-il a lui même sur un ton enjoué. révélant une blague.

Action-Réaction, est aussi un système a cette équilibre. Avec un grand sourire au levres, Deavon relaxait.

-Belle précision.

Claust, l'homme qui avait vu Deavon faire rôtir un goéland a au moins 30m de distance, était assit à la terrasse de l'auberge.

La voix le concernait, s'étendant de tout son long pour regarder derriere lui de qui cette voix venait, le tiefling voyait tout a l'envers. Tentant de se concentrer sans y parvenir, il roula sur le sol pour que son ventre y soit et regarda l'homme plus attentivement. Que pouvait-il rajouter? Il n'a pas pu lire dans les pensés du planaire? Un psioniste? Il se leva et marcha vers son interlocuteur. Avec un tres grand sourire, il s'appuya sur la table du jeune homme.

''Précision sur quoi au faits? Quelle est votre point de vue sur la déesse de l'équilibre?''

-Et bien je vais vous réponde par une question, Quel est l'animal qui vol, est blanc, que l'on retrouve près de la côte et qui fait un son de crépitement quand quelqu'un envoie un trait de feu avec sa main? Sa c'est pour la précision.

Voyant la un compliment, Deavon s'assit devant son nouvel ami. Un humain, va falloir faire attention. Il remit ses pied sur la table. Il tenta d'analyser l'homme face a lui. Il ne semblait guère dégager la même impression que les autres flactiens. Un rebel dans le village? Improbable aussi peu subtil que cela. Continuant sur la lancé du compliment, car, combien de fois le planaire en avait reçu? Et surtout dit franchement. Il pouvait en profité.

''Quand vous avez la magie dans le sang, ce n'est rien de complexe allons.''

Il regardait l'humain d'un air un peu hautain.

''Mais je doute qu'avec votre carrure, vous compreniez. Je me trompe?

-Effectivement, la magie n'est pas trop mon fort. Je me présente, Claust.

Claust lui tendit la main pour le saluer

-Avez-vous soif ? C'est moi qui offre.

''Et moi Deavon Hellbrand.

Deavon fut surpris de voir que l'homme n'était en aucun point vaniteux, ni égocentrique. Il offrait même un verre. Empoisonné peut-être? Non, probablement pas. Le planaire avança la tete et plissa les yeux pour analyser le guerrier....d'un peu trop près...a peine quelque centimètres.

''Vous..... n'avez pas été endoctriné par les flactiens vous. non? Vous vous êtes soumis a eux?

-Qui fait pencher la balance? voici votre réponse.

Les yeux de Deavon s'ellargi. La balance? Serait-il aussi un autre priant de Manakor? Non que cela soit surprenant, mais qu'un autre croyant de la déesse de l'équilibre soit dans les lois Impériale. Mais pour l'instant, les choses allaient toujours dans le même sens, les résistants perdaient de plus en plus de terrain malgré leur ténacité. Donc, ce n'était pas eux vraiment... Le destin en était le maître. Mais qui pouvait prévoir le déroulement des choses.

''Mais dites moi, comment vivez dans ce monde...Radicale...

Claust vit les yeux de Deavon s'élargir, peut-être avait-il compris le 2eme sens de la réponse.

-Et bien je fabrique des boucliers, et je les vend a ceux qui en ont de besoins.

Claust lui montra son propre bouclier, sa création. Il est rond et blanc.

Quelque secondes plus tard deux gardes arrivèrent et l'un d'eux dit:

-Claust Steadler vous êtes accusé d'avoir vendu des armes et boucliers au ennemis de l'empire, et ce par conséquent nous devons vous arréter.

Claust -Je suis navré mon cher Deavon que nous n'ayons pas pu nous rencontrer dans de meilleurs circonstances. Quel est votre nom solda?

Solda- Lionel Antlon

Claust -Et bien mon cher Lionel vous direz à votre supérieur ,Pas aujourd'hui.

Claust donna un coup de pied sur la table pour qu'elle tombe sur Deavon, se leva frappa le 2eme solda avec son bouclier, empoigna la chaise et frappa le solda Lionel pour finalement courir vers la foret.