Les terres de Manakor
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Les terres de Manakor

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 Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe)

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Ruku

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MessageSujet: Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe)   Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe) Icon_minitimeLun 26 Sep - 22:08

**À la fin du gn, dans le camp des elfes en Arkol**

Lorsque Koisen activa la potion, Ruku pensant une seconde à ce qu'il laissait derrière lui. Les membres de son clan, tout ceux avec qui il avait des liens. Il ferma les yeux et il se souvient alors des paroles de son Daimyo: "Rapporte moi l'information et SURTOUT survie!". En quittant Arkol, il allait survivre, c'était sa seul option de sorti. Il entendait les bruits de combat au village au loin, il imaginait les morts s'entassé sur le sol, les Flaxiens marqué au fer rouge les pauvres innocents qui se sont crue pour des héros, les amis d'hier devenu ennemis et traitres qui ont rejoind les Flaxiens pour survivre ou tout simplement par cupidité. Il allait revenir c'était certain mais l'heure n'était pas à cela. Il devait survivre à tout prix. Dire que c'était le trépas de son cousin à la dernière lune qui lui avait sauvé la vie. Ce dernier avait eut une dette envers Koisen et Ruku devait payé la dette de son cousin, c'était la raison pour la quel il c'était battu au côté de Koisen la veille et qu'il avait été l'avertir de l'invasion des Flaxiens au matin et qu'il c'était retrouvé dans leur camp. Et qu'il devait mangé des pommes et planté des pommiers pour payé la dette. Histoire abrakadabrante que Ruku avait lui même du mal à comprendre. Comment il avait fait pour ce retrouvé avec 8 elfes, dont Koisen et sa femme et l'apprantie de Talmire et Talmire en personne, dans ce camp. Maintenant ils se téléportaient pour Cersess pour survivre. Ruku n'avait jamais personnelement voulu allé sur l'île des Elfes, ce qu'il voulait c'était être avec Fururenku sa femme. Il repensa à la messive qu'il avait eut d'elle hier, qui était dans son stock d'alchmiste qu'il avait trainé avec lui. Il se dit qu'il la lirait plus tard, pour l'heure il n'y avait qu'une chose dans la tête du dernier samouraï d'Arkol: Survivre! Il regarda les autres et dit:

-Il serait temps qu'on se téléporte sinon les Flaxiens vont arrivé et il sera trop tard.

Les autres acquiesserre et ils se téléportèrent. Une minute ou deux après, les Flaxiens trouvairent les camps vident, sauf des graines de pommes un peu partout une fiole brisé sur le sol. Ils avaient été plus chanceux que certains, mais pas pour longtemps.

**À Cersess**

Le hasard voulu qu'ils apparurent dans la salle du conseil elfique. D'après ce que Ruku savait, les elfes détestaient les humains, spécialement les non priants de Vérénor et ceux qui s'en prennent à la forêt. Ruku espérait que ses nouvelles affinités avec Koisen, être son appranti d'alchimie ainsi qu'être son garde du corps et être son planteur d'arbre, allait lui permettre dans sortir en vie. Il espérait pouvoir retrouvé sa femme, ils étaient marié que depuis bientôt 9 mois et ils n'avaient que 18 ans. Étrangement, lors de leur apparition la salle du conseil était vide, au soulangement de Ruku et de certains, lorsqu'il comprit où il était. Si quelqu'un aurait fait la même chose lors d'une assemblé de samouraï, ceux-ci serait mort avant même de pouvoir s'expliquer. Une cérémonie de thé ne s'interrompe jamais. Ruku se donna des petites tapes sur le corps histoire de voir s'il était en un seul morceaux. Il n'avaient pas de doutte sur les compétences de son nouveau maitre d'alchimie, mais c'était la première fois qu'il se téléportait. Il espérait un jour pouvoir utilisé lui même ce type de potion qu'il savait aussi faire.

(j'ignore si officillement la forêt en feu alors confirmera pour le reste de mon post cela s'arrange s'acclimate à tout scénario)

Ruku regarda Koisen et dit:

-J'ai une idée, admettons qu'on aurait des problèmes avec encore des Flaxiens, il faudrait avoir d'autre potions de ce genre, je peux en confectionné si tu me donnes les plantes et Talmire aussi. Faudrait en avoir deux en permanence, exemple qu'on se téléporte dans un endroit déjà occupé, on peut tout de suite s'enfuir. Je connais tout les lieux entre le Jatao et Arkol, j'ai fais tellement de fois l'aller retour.

Il sourit et espérait que sa proposition allait être accepté. Il n'avait jamais pensé avant utilisé la téléportation en potion pour aller de région en région. Maintenant il aurait un bon truc pour aller voir régulièrement sa femme en Jatao. À cette pensé il repensa à la lettre qui avait eut. Il la sortit et commença à la lire. On puit voire le samouraï versé une seule et unique larme et tombé à genoux. Comme si le poid du monde venait de lui tombé sur le dos. Il tremblait et il avait peur. Pourtant un samouraï ne devait jamais montré un signe de faiblesse mais Ruku était humain avant tout. Il réussit à dire à voix basse:

-Je vais être père... je vais être père... et notre maison vient d'être brûler par les Flaxiens.

Il voulait hurler sur tout les toits comment il haissaient les Flaxiens, il voulait tous les tués, eux et les traites qui avaient rejoind leur rang. Il devait trouvé sa femme en Jatao et vite. Il le devait, pour leur enfant qui allait naitre dans 6 lunes, pour sa femme qu'il aimait par dessus tout. Mais même s'il la sauvait que ferait-il d'elle? Il l'amènerait ici à Cersess? Jamais les elfes voudraient à moins qu'il négocient ardument avec eux et que Koisen l'aide. C'est une de ces journées qu'on oubliera jamais. Comment du jour au lendemain sa vie, tranquil et simple était devenu un combat pour la survie, pour défendre Arkol contre le néant, pour fuire l'invasion et être le dernier samouraï d'Arkol, apprendre que sa femme était en seinte et que sa demeure était en cendre. Il s'en voulu de n'avoir aucune divinité à prier car il aurait prié nimporté quoi juste pour avoir un peu d'espoir de retrouvé son amour. Il lacha la lettre, se mit seisa, essuya sa larme, mit ses mains pour méditer. Il devait d'abord s'acclimaté à ces elfes, il devait après trouvé une facon de mettre sa femme en sécurité, il devait après trouvé une chose que lui seul connaissait, après il devait parfaire ses techniques d'alchimie, envoyé toutes les infos qu'il avait récolté à son Daimyo s'il était encore en vie, peut-être trouvé un compris avec Koisen pour resté quelque temps à Cersess et après essayé de rejoindre la résistence possible que lui et certain membre de son clan voulait monté si Arkol tombait. Tant de chose à faire et le temps qui lui manquait, mais une chose était resté intacte dans le coeur du samouraï, l'espoir.
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Koizen Galanodel

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MessageSujet: Re: Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe)   Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe) Icon_minitimeMar 27 Sep - 0:55

Les visions de l'archi-druide avaient été vérifier et elles étaient vrai : Arkol avais définitivement tombé au mains de l’envahisseur à la couleur du sang, l'heure était grave et ils devaient faire vite. Le champion de Vérénor avais toutefois plus d'un atout dans son sac, quelques potions dont lui seul avais le secret avais servi à ce sauvé du massacre imminent causé en terre ou il fût nommé ambassadeur, représentant de ce fait même la Cours Elfique. Usant de l'une d'entre elle conçu pour son retour en Cercesse, il sauva de justesse son groupe des Calendhrims ainsi que son nouvelle apprenti Ruku de l'arrivé des hommes de Flaxiens à la frontière de leurs campement.

Lorsque la fin de la fumé d'origine magique disparurent, tous puis ce rendent compte qu'ils étaient dans une grande pièce ronde, au mainte trône d'or et de chêne qui répondirent au nombre de douze ... ce fut la salle du conseil qui souvent l'elfe avais eu la chance d'assisté au conférence entre les anciens et cela auprès de son père qui lui siégeais parmi les douze. Dans la grande salle l'on pouvais y voir toute la gloire et la prestigieuse technologie de pointe des elfes, les racines des arbres même montèrent dans les murs, dessinant et serpentant de tout son long. Actuellement tous pouvaient y voir que les sièges étaient laisser pour vide, n'y voyant aucune trace des sages y assistant.

Rien d'étonnant sur le coup lorsque l'elfe constata les sièges vide, les conseils n'avaient pas lieux tout les jours mais bien en cas de nécessité. Koizen regarda le siège de chêne au reflet argenté dans lequel son père avais habitude de s'y asseoir lors des interminable discutions et eu un sentiment de malaise, en cet heure ou pouvais t-il bien être ? Avec l'état actuelle des choses il aurait bien aimer le revoir pour lui dicter un compte rendu des évènements critique en terre d'Arkol, ou même parlé à l'un des Garde du conseil pour lui demander ou étaient les conseillers. D'un rapide pas, il ce dirigea vers la porte d'entré et fit signe au autre d'attendre là, regardant d'un rapide coup d'oeil à travers la porte tout le long du couloir était vide, personne ! Ce fût une chose très rare, normalement des garde de la citadelle parcourt les couloirs et corridor de la cours elfique histoire de s'assurer que tout allaient bien, mais là au loin et de son flair, l'elfe senti comme une odeur de brûler et cela n’annonçais rien de bon.

Refermant la porte derrière lui, il reviens auprès de ses compagnons, l'air un peu plus grave qu'a son habitude mais garda son sang-froid, un chef ce le devait dans ce genre de situation. Il s'approchais d'eux et pris un air très sérieux pour leurs parlé :


- Mes amis, je viens de regarder à l'extérieur et les corridors sont vide. Ceci n'est en rien normal surtout à l'étage ou nous sommes ... je propose qu'on sortent discrètement de la salle du conseil et que nous descendions les escaliers pour ce rendre dans la cours extérieur. D'ici là ... mes amis humain, faite de votre mieux pour paraître discret, nul humain ou quelques rares on droit d'être au sein de la citadelle ... et Ruku, pour ta proposition je doit t'apprendre la potion que j'ai utiliser pour nous téléporter dans un endroit comme ton pays, je n'y ai jamais mis les pieds et de ce fait je ne puis en faire une pour te renvoyer là-bas mais il ne sera pas faux que je crée une seconde potion une fois de plus pour nous téléporter ailleurs d'ici en cas de problème.

Koizen savaient de quoi il parlaient, les rares humains admis à la citadelle était souvent voté au sein du conseil et toute la populace étaient au courant, voir Kam, Ruku ou même Talmir en ces lieux serais alerté quelque soupons compte tenu de leurs provenance et droit de ce promener librement. Bien que tous soit des Calendhrims et avaient prêter serment à la cours elfique, à l’exception de Ruku, ils n'étaient pas encore autorisé d'entré à la Cité et leurs place étant à l’île proche de Cercesse pour les invités humain ou autre race n'ayant pas le liens de sang des elfes.

L'elfe songea encore à son père, à sa famille et à ses enfants. Il regarda par les multiple fenêtre au vitrail majestueux représentant la gloire de la race elfique, il y vu à travers elles une parti de la cité en feu et par delà les grands arbres il y vu de son regard perçant les corps inanimé de ses frères. L'elfe recula d'un bond de la fenêtre et s'agenouilla au sol, la tête base et la colère au coeur. Les émotions étaient tous contradictoire, voir sa merveilleuse cité attaquer il y a quelques heures d'après lui par les Flaxiens lui mis la rage au coeur ... tandis que voir les siens mort dans le jardin le lui brisa. On pouvais y sentir et y voir l'émotion fragile dans le visage de l'elfe, ses frères avaient besoin de lui plus que jamais.

Il songea en ce même instant à sa famille, son père et sa mère étaient t-il en sécurité ? Ses enfants ou étaient t-ils ? Ses frères que fessaient t-il en cet instant ? Le coeur de l'elfe et ses émotions prirent une tournure auquel il ne pouvais s'y attendre, il n'avais jamais envisager arrivé lorsque la cité étaient dans le besoin ... la tristesse et les larmes remplirent ses yeux par l'émotion et la peur. Il devait réagir et ce rapidement, ce relevant d'un geste brusque il essuya ses larmes par le revers de sa toge de cérémonie, il regarda les Calendhrims avec sévérité.


- Calendhrims ! Notre peuple souffre en ce moment, les notres ont besoin de notre aide ici bas ! Préparer vos arme au cas ou l'ennemi serais déjà dans la cité, elle brûle et des innocents on perdu la vie en la défendant. Nous allons descendre l'escalier pour nous rendre dans les jardins de la Cours, si vous voyez des miens arrivé laisser moi parlé et ils m'expliquerons la situation en Cercesse.

Sortant sa lame elfique et la lame draconique que Killrock lui avait donner avant son départ, il ouvrit les porte de la salle du conseil et y invita les Calendhrims à y venir le rejoindre, ils n'allaient pas laisser la cité ce défendre seul et il avait avec lui ses amis. Le premier arrêt auquel il songea de faire étaient chez lui, mais les autres elfes au sein du groupe songerais tous à la même chose, alors il leurs parla avant de traverser la porte.

- Pour ceux de ma race, si vous voulez aller au secours de votre famille, allez y sans tarder car je ne vous y retiendrais pas. Les autres avec moi, surtout les humains ... votre présence serais ce faire expliquer avec moi à vos coté. Pour l'heure apportons notre aide comme nous l'avons fait en Minor, l'avenir de la Cours Elfique en dépend.

Il traversait d'un pas assurer et rapide la porte, un même pas lorsque son coeur suit l'appel de la bataille s'en venir, la même passion que lorsqu'il avais brandi l'épée de Vérénor et ainsi devenir son champion lors de la nuit passé pour ce débarrasser des Ombres du Néant. Au coeur de la Cours Elfique existaient des elfes au âges impossible à nommer, plus vieux que certains arbre millénaire, aucun d'entre eux n'aurais laisser la cité ce faire facilement attaquer sans même ce défendre, le mal était peut être déjà en dehors de la Citadelle, le champion de Vérénor osait l'espérer.


(HG: J'ai parlé à Sam Béland pour ce qui concerne Cercesse, une parti de la cité à été attaquer, beaucoup d'elfe en furent tuer mais l’envahisseur n'a pas plus entré dans la cité, les coups de canon on détruit et endommager beaucoup la cité des arbres et tuer beaucoup d'elfe. Depuis Cercesse ce referme sur elle-même grâce à la magie des Ancêtre elfes, des premiers née. Nul ne peu ressortir de Cercesse ou même entré sans leurs autorisation.

En gros, nous sommes dans un grand cocon de magie qui sépare la Citadelle du reste du monde. De plus compter sur moi pour vous décrire un peu comment est Cercesse dans chaque lieux que nous allons visité, pour vous donner une idée imaginer un peu le mélange de Foncombe et de la Lorien dans LOTR)
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Ruku

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MessageSujet: Re: Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe)   Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe) Icon_minitimeMar 27 Sep - 15:11

La courte méditation eu un effet très possitif sur le jeune samouraï. Il savait ce qu'il devait présentement, il devait faire comme il avait toujours fait: se battre! Il reprit conscience aux paroles de Koizen, il avait fais sortir de son esprit la joie d'être futurement père, la peur que sa femme meurt, la crainte des réprimendes de son clan, la colère face aux Flaxiens, les envis meurtrillère de battre. Tout ces émotions qui animaient les gens normaux, lui il s'en dissotiait lors des combats, il ne pensait qu'à une chose: le non-pensé. Cette technique des samouraïs à faire le vide dans leur esprit lors des combats. Il vivait l'instant présent, agissait par réflexe, ne s'énervait jamais, était parfaitement dévoué dans leur tache. Même la mort ne les inquiètaient pas, même la peur de faillir leur était inconnu. Il avait fois, mais en quoi? En tous! Ils avaient confience à leurs frères d'armes, à leurs armes, en leurs chefs, en leur mission, en leur capacité. Ils ne pensaient pas, ils ne faisaient qu'agir par logique. Ruku ouvrit les yeux et avait un regard de Faucon, il allait foncé sur sa proie et se battre aux meilleurs de ses capacités et il tendrait le cou au moment venu pour accueillir la mort. Un samouraï vivait toujours à une longueur de katana de la mort, Ruku le savait et il n'avait pas peur. Malgré tout ce qu'ils devaient enduré, les caprices de leurs seigneurs, la possibilité d'une mort constante, un entrainement peu facile, des félicitations si rare, des chatiments exemplaire, la pauvreté, l'impression de ne jamais pouvoir atteindre la perfection dans leurs arts même s'ils y sont tout proche, les samouraïs ne reculent devant rien pour accomplir leur devoir. C'est comme ça que Ruku avait été élever, docile, polie, cherchant toujours la perfection et l'amélioration, à enduré les caprices de ses supérieurs et à obéir sans hésité. Il était un marie attentionné, un bon vivant, il adorait rire et célébrer chaque victoire sans trop boire il va s'en dire. Il avait appris à profiter de chaque moment, chaque seconde pouvait être la dernière de sa vie, alors il ne pouvait se permettre de les gaspillers. Il se leva et alla rejoindre les côtés de Koizen et dit rapidement et brièvement:

-Arigato sensei.

Dire une telle chose devant son clan, Ruku se serait fait réprimendé, mais il avait foi en Koizen. Ils allaient s'en sortir. Il reverait sa femme, son futur enfant, les cerisiers du Jatao fleurir, tout spécialement celui qu'il avait planté quand il était jeune avec son grand-frère Daisuké. Il ne pensait pas, il agissait comme sur une impulsion, comme la veille au village lorsqu'il c'était battu aux côtés de Koizen. Il mit sa main gauche juste au dessus de la garde de son katana à sa droite, son style de combat était peut-être à l'inverse de celui traditionnel de son pays qui était normalement à gauche. Il avait oublié ses brassards à son camp, trop pressé par l'arrivé des Flaxiens pour emporté cette pièce d'armure, par chance il avait pris la bourse du clan. Ils avançaientt avec le champion de Vérénor à leur tête. Ruku dit rapidement à Koizen:

-Dès qu'on trouve d'autres elfes, il faudra monté un périmètre de sécurité, la salle du conseil semble un endroit propice à cela. Talmir et son apprantie pourront soigné les blessés et nous donnez tout le supporté nécessaire. Il faudra aussi trouvé une façon d'éteindre ces incendies. J'optes pour l'utilisation d'un élémentaliste d'eau ou si vous pourriez contrôler la nature et faire en sorte qu'il se mette à pleuvoir.

S'il se mettait à pleuvoir, il y avait un risque d'éclair, mais c'était moindre que de perdre la forêt de Cersess. Dans sa jeunesse on lui avait parlé celle-ci et maintenant qu'il la voyait pour la première fois, il espérait que cela ne soit pas la dernière fois. Le groupe arriva au bas des escaliers et Ruku vit les jardins de la Cours. Il remarqua des corps à terre plus loin, il fit signe au groupe alla voir les corps. Plusieurs avaient des traces de brûlurent et des signes de blessures par boulet de canon. C'était clairement la faute des Flaxiens. Ruku se pencha et regarda un couple d'elfe qui était mort main dans la main. Malgré leur beauté impressionnante, Ruku crut que cela aurait pu être lui et sa femme. Il lache un soupire et il se concentra sur son travail. Il dit à Koizen:

-Il n'y a pas de signe de vie, ni de signe des Flaxiens jusqu'à présent. On va où maintenant? Si le conseil n'est pas là peut-être qu'ils se sont réfugier quelque part d'autre, cela expliquerait l'abscence des gar...

Les paroles du Kitsu fut interrompu par une détonnation au loin, il vit une trainé noir dans le ciel et une explosion non loin d'eux. Une sorte de fumer jaune sortait du cratère. C'était donc belle et bien les Flaxiens. Ruku se retourna vers Koizen et le groupe et cria:

-TOUT LE MONDE À COUVERT! C'ÉTAIT UN TIRE POUR CALCULER LA PROCHAIN SALVE DE TIRE!!!

Il avait entendu parlé de ce genre de bombe qui permettait aux gens Flaxiens de tiré avec précision sur leur cible. Ruku partit à courir avec les autres pour se mettre à l'abrie lorsqu'une série de détonation arriva à ses oreilles. Une ou deux secondes plus tard, une bonne dizaine d'explosion frappa le jardin elfique. Ruku fut projeter en arrière par le souffle des explosions. En atterrissant sur le dos, il fit une roulade rapidement par en arrière et il se remit sur ses jambes en garde prêt pour la suite du combat. Il regarda ses alliés et tous semblaient correct au premier coup d'oeil. Il alla voir Koizen et dit:

-Vous n'avez pas des mécanismes de défence à cas d'invasion? Il faut absolument que ces boulets cessent de pleuvoir sinon tout l'île va y rester! Les autres elfes doivent être en sécurité, le majeur parti des votres doivent être sur les côtes en train de combattre, il faut vite y aller! Si on aurait des armes comme des balistes ou quelque chose comme ça.

Il attendit la réponse de leur chef, prêt à agir.
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Koizen Galanodel

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MessageSujet: Re: Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe)   Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe) Icon_minitimeMer 5 Oct - 3:32

Voyant le tire de boulet arriver sur l'un des murs de la cité, l'archi-druide songea au pire et fit signe au à ses compagnons de ce mettre à couvert. L'impact fut grand et de nombreux débris s'envolèrent de tout sens et de tout coté, le bouclier du druide ne servirais à rien dans une telle situation. Il avais entendu par la suite l’avertissement de Ruku et sa proposition, mais ne plus lui répondre sur le coup car quelque chose ce passa, les débris furent suspendu à même les airs, en les observant on pouvais y apercevoir une lueur doré entouré les structures rocheuse des débris figé dans le ciel ou près du sol. Cherchant des yeux la cause de cet magie, il vu non loin d'eu un de ses semblable, main suspendu dans le vide et fixant du regard les morceaux du mur, il était noblement vêtu d'une toge de couleurs doré. Koizen connaissait cet homme, il était l'un des fils du haut conseiller, il ce nommais Althradiel.

Voyant le regard surpris de son frère de sang l'elfe releva la main vers le ciel, les débris étaient renvoyer en direction opposé de leurs venu. Althradiel fit un sourire moquer à Koizen, puis s'avança vers lui.


- T'aurais-je surpris Galanodel ? Voilà qu'il est intéressant de constaté que ma famille ai une dette de payer à votre famille mon chère ami, je vous ai tous sauvé la vie en cet instant.

L'elfe regarda les membres du groupe des Calendhrims et ses invités, il constata avec surprise et mépris des humains parmi eux. Son regard s'arrêta sur le symbole abordant le Dévot de Talinas qui resta au côté de Koizen durant tout le long du trajet. Puis d'un air dégoûté il lança un regard en direction de l'archi-druide, il n'était pas rare que l'elfe avais droit à ce genre de mépris car il l'avais endurer depuis longtemps à l'époque ou Naara vivait avec lui à la Cours Elfique, mais en cet instant ce genre de remarque lui déplaisait beaucoup, il était temps de réagir et non de continuer les anciennes querelles. Le champion de Vérénor lui lança un sourire en guise de réponse à sa réaction. Althradiel repris la parole d'un air accusateur.

- Que font ces gens ici ? Ils ne sont pas mandaté par le Conseil ni même reconnu comme étant des invités à Cercesse ... Ta compassion pour la race des Hommes t'aurais peu être fait oublier les règles sacré de la Cours ? Ou ne passe tu pas assez de temps auprès de ton père au Conseil pour te souvenir de nos lois ?

Il lui lança maintenant un sourire satisfait, Althradiel avais toujours eux quelques différent avec les membres des familles dans les branches de l'Arcane. Les Celebrindal avaient toujours été les maîtres dans le savoir de l'arcane et surtout les plus grand archi-mage de la Cours elfique y étaient attacher à leurs famille, depuis de nombreuse génération de magiciens avaient passé d'une famille à d'autre, par mariage politique ou par amour. Au sein de la famille Galanodel appartient aussi de puissant mage et archi-mage et les Celebrindal y ont souvent vu de la rivalité avec les autre familles possédant de nombreux magiciens. Revenant au conflit, Koizen lui fit un simple signe de la tête, puis lui aussi affichais désormais un sourire narquois au lèvre.

- Je crois mon chère ami que pour l'heure nous avons bon nombre de choses à nous occuper que des formalité et de la paperasse. Les gens que tu vois m'accompagner sont le groupe des Calendhrims auquel j'ai, par le via de la Cours Elfique elle-même crée. Ils sont ma famille et la bienvenu ici aussi bien que toi et moi. Aurais-tu manquer une réunion du conseil auprès de ton chère paternel toi aussi ?

On pouvais désormais y voir de la tension entre les deux jeune homme, une sorte de compétition sur qui aurais le dernier mot. Mais Althradiel fit mine de rien et ce retourna vers les membres du groupe, les dévisageant les un après les autres, puis s'arrêta sur Ruku en dernier et le regardant à peine, comme si ce dernier n'avais aucune valeur. Celui qui avais maintenant son attention toutefois restait le noble Talmir d'Orisi, mais cela il ce le garda pour lui, il sentais le pouvoir de l'arcane émerger de ce dévot ainsi bénit par la déesse ...

Un peu plus loin on pouvais y voir quelques elfes s'avancer en direction du groupe dans le jardin, ces elfes étaient pour la plus part des gens ordinaires cherchant à aider. Certains étaient encore sous le chocs de ce qui ce passais en ce moment en Cercesse, d'autre pleura les corps des disparues ou des victimes au sol. Un grand bruit ce fit entendre, un tir de canon une fois de plus.

Du haut du ciel on pouvais y voir le morceau de fer volé dans leurs direction, mais aussitôt arrêter par une sorte de mur bleuté. Le boulet fut totalement réduit en cendre. Althradiel ce mis alors à lancer un rire moquer et regarda le boulet ce faire anéantir par la puissance de l'écran arcanique.


- Et bien ... les Anciens ce sont réveiller. Cercesse ce refermera sur elle-même une fois de plus on dirais.

Il n'était pas dans le tord, la Cours Elfique avais un système de défense très puissant contre les envahisseur, des elfes plus anciens encore que les premiers arbres ayant poussé sur la cité de Cercesse avais mis au point une magie arcanique très ancienne protégeant le peuple des premiers née d'une mort certaine. Elle n'a été activé toute fois que quelques rare fois lorsque tout était perdu. Koizen ne l'avais jamais vu, seulement entendu parlé, même son père n'en savais pas plus que lui ... pour certain elfes ce système de défense était tiré du mythe même, de la fantasy, mais aujourd'hui l'archi-druide n'en n'était plus aussi convaincu. Si les Anciens elfes étaient réveiller de leurs sommeils Millénaire ... cela n'envisageais rien de bon pour le reste du monde.
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Talmir

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MessageSujet: Re: Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe)   Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe) Icon_minitimeDim 9 Oct - 13:22

Le théurge de Talinas suivait les évènement sans trop oser s'impliquer. À vrai dire il ne savait trop comment réagir dans cette île légendaire ou bien peu d'humain avaient mis les pieds au cours des siècles. Il se savait être privilégié d'en voir les merveilles, même dans l'état de siège actuel, mais ne pas être le bienvenue pour autant. En tant que race les elfes étaient une race xénophobe de réputation, particulièrement les plus anciens représentant de la race. Il n'était pas le temps de commettre un impair et de causer des tensions additionnelles.

Lorsque le puissant boulet de canon des Flaxiens fût réduit en cendre par la protection arcanique des anciens, Talmir ne pu s'empêcher d'écarquiller les yeux de surprise. C'était là une magie bien plus puissante qu'aucune qu'il n'ait jamais eu l'occasion de voir! Non seulement cette magie était capable de neutraliser les boulet de canon des Flaxiens, mais son rayon de protection était bien plus grand que tout les sortilèges connus des mortels. Et il y avait fort a parier que sa durée était elle aussi bien supérieur...

Le templier secoua la tête pour se libérer le la fascination des cendres du boulet de canon qui flottaient maintenant lentement vers le sol, inoffensives.


-"Seigneur Galanodel, je suis conscient que ma présence ici risque d'échauffer les esprits de certains. Mais malgré tout, en voyant le carnage apporté par les Flaxiens, je ne peux me résoudre à rester les bras croisés. Vous savez que j'ai été choisi par Talinas pour être son champion, et qu'elle m'accorde parfois de grands miracles lorsque je les lui demande. Avec votre permission, j'aimerais demander à la déesse de lumière de guider les âmes des défunts jusqu'à leur corps afin d'en ramener le plus grand nombre possible d'entre les morts... Bien sûr je ne pourrai en aucuns cas ramener tout les morts à la vie, un tel miracle serait beaucoup trop demander à la déesse, mais chacune des victimes ainsi sauvés soulagera un peu le chagrin de leurs proches et ramènera un peu plus d'espoir en ce monde..."

Le templier s'était adressé à l'archi-druide d'un ton bien plus solonel qu'a l'accoutumée, afin que l'elfe nouveau venu n'ait pas l'impression qu'il lui manquait de respect. En mentionnant le fait qu'il avait été récemment choisi par la déesse de lumière pour être son champion, le templier porta instinctivement la main à la garde de l'épée de lumière qui battait son flanc, se doutant qu'un mage ayant la puissance dont avait fait preuve le nouveau venu pour les protéger des débris devait fort probablement être en mesure d'en ressentir la puissance, à la fois arcanique et divine.

Talmir espéra qu'il n'y avait pas quelque tabou racial contre le fait de ramener un elfe à la vie dont il n'était pas au courant, et que Koizen lui accorderait sa demande. Même si il ne pourrait peut-être sauver qu'une douzaine d'elfe avant que leurs âmes ne se soient trop éloignés de leur dépouille charnelle, peut-être un peu plus si un sorcier était prêt à lui fournir de sa puissance arcanique, cela avait de l'importance aux yeux du templier. Et cela ne pourrait surement pas lui nuire pour ce qui est d'être acceptés par certains elfes en ce lieu, même si ce n'était pas la raison première de son envie d'agir.


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MessageSujet: Re: Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe)   Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe) Icon_minitimeSam 15 Oct - 13:09

Ruku ouvrit grand les yeux faces au bouclier qui bloqua les boulets flaxiens. C'était magnifique, cela faisait pensé aux feux d'artifices de l'enfance du Samouraï. Il aurait tous donné pour être dans son pays avec sa femme et pouvoir contemplé les feux d'artifice sur le pont principale de Nusio. Il regarda les elfes arrivé et ne dit rien. Il compronnait très bien comment ils pouvaient se sentir face à tout ce qui arrivait. Il se sentait tellement inutile, il ne possèdait pas de capacité de premier soin, mise à part ses potions mais le temps de préparation nécessaire était trop long. Il regarda la scène avec un visage neutre pour ne pas laissé paraitre la tristesse qui avait en lui. Il vit l'elfe qui ne le regardait à peine comme s'il n'était que néant. Il baissa le regard et ne dit rien. Il eut un petit rire inperceptible pendant une fraction de seconde. L'elfe fit hallusion aux anciens et à la fermeture du pays. Le samouraï ne comprenait pas vraiment ce qui arrivait, il ne faisait que suivre le courant des choses. Il n'avait jamais pris l'habitude de foncer et de dirigé ni d'être informé de ce qui arrivait. En sommes, cette situation semblait être routinière pour le Kitsu. Ruku se leva et réajusta son kit d'alchimie à son épaule et il se mit à gauche de Koizen comme il aurait fait en tant que yojimbo. Il dit rapidement à Koizen:

-Que fait-on maintenant sensei?

Pour sa part Ruku avait déjà plusieurs idées, mais il tenait à attendre d'être plus tranquil et dans un espace plus propice à la discution. Il avait l'impression d'être seul, abandonné par son clan et être qu'un Ronin ce qui représentait une insulte. Il était resté fidèle à son Daimyo, mais il devait impérativement survivre. C'était la seule chose à la quel Ruku se rattachait maintenant: survivre. Il devait apprendre à s'acclimaté à ce nouvel environnement. Il espérait un jour faire payé aux Flaxiens ce qui était arrivé aujourd'hui. Ruku ne connaitra jamais le repos avant que sa tache n'aura pas été accomplis. Il attendit la réponse de son maitre. Il vit alors Talmir se proposé à aidé. Ruku n'aurait jamais osé faire une telle chose, il avait compris sa place, il n'était pas le bienvenue et il ne voulait pas faire de remous. Un samouraï devait servir et pas être nuissance. Ruku se demandait comment Koizen allait réagir, mais surtout comment l'autre elfe allait réagir. Le sensei de Ruku était une personne à l'apparence beaucoup plus ouvert d'esprit mais pas les autres elfes. Si Talmir ramenait à la vie un elfe sans le conssentement de sa famille, il risquait gros. Le dernier samouraï d'Arkol fut peiné de ce dire qu'il n'avait pas la trempe du templier. Il n'était qu'un pion dans l'échéquier de sa propre vie. Il soupira et regarda au tour de lui en se disant que son pays devait subir le même sort. Il ne s'inquiétait aucunement pour son clan, il savait qu'ils étaient fort et que tant que le Daimyo serait là, ils ne risquaient rien. Dans les ténèbres, dans le doutte, dans le chaos, il y a qu'une chose à faire et c'est ne jamais perdre fois en ce qu'on croit.
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MessageSujet: Q   Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe) Icon_minitimeSam 26 Nov - 17:46

Cela faisait déjà plusieurs mois que Ruku était arrivé à Cersess. Les elfes l'avaient contraint à être suivit en permanence par deux gardes elfiques. Ce beau pays qui autrefois était paisible, était méconnaissable. Suit au bombardement, l'île c'était refermé sur elle même, aucune sorti aucune rentré. Tout ce qui était sur l'île restait sur l'île, y compris le samouraï et les autres membres de sont groupe. Il n'avait pas grand chose à faire, Ruku et les autres avaient été jugé par la haut conseil elfique, qui avait été clémant contrairement à leur habitude, grâce à Koizen qui avait joué en leur faveur. Dire qu'il c'était retrouvé là cause de la mort de son cousin, quel ironie de devoir survivre grâce la mort d'un proche. Ruku s'entrainait chaque matin dans la cours de la résidence que les elfes lui avait prêté. Il c'était fabriquer un bokken en bois, avec la permission des elfes, et chaque matin il frappait contre un tron d'arbre mort en hurlant. C'était un entrainement classique dans son pays, chaque samouraï le faisait, mais surtout les Gôshis. Être un gôshi était très difficile, il vivait par le travail manuel car le salair que leur fournissait leur seigneur n'était pas assez pour vivre de leur propre moyen. Ruku lui était devenu alchimiste pour cette raison mais aussi parce que son père lui avait ordonné pour comblé le manque de dissipline de son grand-frère. Ainsi lorsqu'un gôshi commençait à faire de l'argent par son travail manuel, la seigneurait prenait souvant son entreprise ou le moyen de fabrication pour s'enrichire elle même au détriment du gôshi qui n'avait rien à dire. De plus, s'ils osaient se rébeller, se pleindre, la mort les attendait par les autres samouraï plus proche du seigneur comme ses chefs de famille. Si un samouraï supérieur à un gôshi tuait un gôshi, il n'avait qu'à écrire une note sur un papier de riz, et il n'était pas puni pour son crime, mais si l'inverse se produisait, le gôshi finissait souvant soit par être exécuter soit il devait faire le seppuku. La rage, la colère, la haine grondaient dans le coeur des gôshis qui n'avaient aucun espoir d'avenir et qui souffraient pour leur seigneur et ce sans cligné des yeux. Pour remédier à cette souffrance, certains s'entrainait dans l'art du combat, comme Ruku faisait. Dans sa province, chaque matin, tous les gôshis sortaient de chez eux, le bokken à la main, et frappait les trons d'arbres de toutes leur force en hurlant. Chaque matin, ils devenaient de plus en plus fort, plus leur colère grandissait, mais jamais ils ne penseraient se rébeller. Même si Ruku était sur une île, seul, loin de son clan, il restait fidèle à ce dernier, parce qu'un samouraï vit que pour servir son seigneur.

Ruku c'était fabriquer quelques vêtements en tissus elfique, il ne comptait pas vivre avec un hakama et un gi jusqu'à la fin de ses jours. Ce matin là il enfila ses vêtements elfiques et sortit de sa "maison", il dit aux deux gardes:

-Ohayô Gozaimasu (Bonjour de manière très polie), **elfique avec axen** Bon matin **elfique**

Les deux gardes ne régissaient pas comme à chaque matin. Ils ressemblaient tellement au personne de chez lui. Droit, fier, silencieux, perfectionniste. Koizen lui avait parlé que son frère était un samouraï autre fois, c'était la raison pourquoi Koizen appréciait Ruku, ce frère devait ressemblé au jeune samouraï. Ruku avait la permission de garder ses katanas vu que c'était une tradition chez lui, le katana était l'âme du guerrier, unique et comme lui, forger dans la perfection, transmit de génération en génération. Ruku se disait qu'il était bien traité pour un prisionnier, il manquait de rien, il avait le droit de se promener à sa guise. Il avait même eux le droit d'assister à des réunions du conseil concernant l'invasion Flaxien. Les elfes risquaient de resté neutre dans ce conflit. Ruku aurait bien voulu parlé, mais dans son paix il n'avait pas le droit de parole sur les haut décisions et ce n'était pas le cas dans ce pays aussi. Il marchait tranquillement dans les rues encore remplis de débris, la reconstruction de Cersess prendrait beaucoup de temps, vu le tempérament des elfes à vouloir tout faire lentement et dans la perfection. Ruku regarda le ciel, le bouclier était encore activé et les bombardements Flaxiens avaient cessés. Il sentait une fine brise sur son visage et il ferma les yeux pour profité de ce moment. Chaque moment, chaque instant devait être vécu au maximum selon lui, car ce pouvait être le dernier. Il s'éloigna un peu de la cité arbre pour aller dans des collines pour loin. Il avait avoir un peu de solitude, malgré la présence des deux gardes impassible. Les seuls personnes avec qui il pouvait parlé était Koizen et sa femme, talmir et son apprantie. Ruku s'installa dans une petite prairie, créer par une bombe flaxienne, au sommet d'une colline, on pouvait voir la mer au loin. Il s'installa en seiza et mit la main gauche sur la main droite pour méditer. Il essait de faire la paix avec lui même quand il se dit:

**Je dois agir. Cela fait bientôt trois mois que je suis ici et je n'ai encore rien fait pour régler mes problèmes.**

Sa femme était porté disparu ainsi que sa famille en général, son clan avait disparu quelque part sur le contient, il avait été le dernier samouraï en Arkol lors de la bataille contre le néant. Certains information des magiciens elfiques et autres spécialiste voyant avait informé le samouraï que le Jatao pourtant un pays réputer pour ses stratégies défencives était tombé sous l'emprise des Flaxiens. Sa maison avait dû brûler et piller, peut-être la tombe de son père, mais c'était peu probable. Selon la coutume, lorsque la maison du seigneur risque de tombé, les familles sont envoyé dans les montagnes en sécurité dans des lieux gardé secret. Ruku espérait que sa femme et leur futur enfant y était en sécurité avec un des oiseaux de son pays. Les armés de l'empereur du Jatao ont dû être massacré et les rares survivaient devait être devenu des ronins. Ruku espérait qu'un seigneur pourrait tout les ramenés sous son étendarts et lever une armé qui reprendrait son pays des mains du cruel empire Flaxiens. Le samouraï réfléchissait à l'idée d'aidé à la création de cette armé de libération, même si d'un autre côté, il y avait déjà une en Arkol qui semblait être prêt à renversé l'empire. Il fallait faire de quoi. Ruku devait retrouvé son clan, expliquer à Kishiro-Sama comment il était arrivé à se faire allié des elfes et comment Arkol était tombé mais surtout il devait survivre car c'était l'ordre que son seigneur lui avait donné et il refusait de mourir dans la honte. Il pensait possiblement recruté des ronins et d'autre personnes qui pourrait rejoindre le clan, mais il ignorait si le Daimyo serait en accord à l'idée d'utilisé des "mercenaires". Ruku lache deux bonnes inspirations et se pencha en avant les paumes de mains contre le sol, le front contre ce dernier aussi. Il se releva et reparti vers Cersess. Il alla faire un tour du côté des salles d'entrainement des soldats elfiques. Tous le monde le regardaient étrangement, il était le premier humain qu'ils voyaient mais aussi le premier samouraï possiblement. Il alla prendre un arc et il s'entraina au tire. Après il alla observé les combats, elfes possèdaient une sorte de katana dont la garde état courbé. Ruku aurait bien aimé l'essayé mais c'était impossible, utilisé un katana autre que celui de son père était une insulte. Il repartit après faire un tour à une académie d'alchimiste où il avait commencé à suivre des cours. Même s'il ne compronnait presque rien à ce que disait le sensei, il voulait juste faire de quoi pour s'occupé. Quand le soleil commenca à décliner au loin il reparti vers sa maison, tranquillement, les deux gardes ne semblaient même pas fatiguer même s'ils portaient une lance, une armure et un grand bouclier. Ruku se demandait quesqui était meilleure entre une armure elfique et une armure de samouraï. Il aurait bien aimé les testés mais cela aurait été impolie. Arrivé chez lui, il alla à son bureau, les gardes restairent devant la porte de la maison. Ruku sortit une plume et son livre d'alchimie et retranscripta ce qu'il avait vu durant le cours d'alchimie, il iriat en parler une autre journée avec Koizen qui était devenu son maitre dans cet art. Quand ce fut fait, il prit une lanterne magique qui éclairait d'une couleur bleu et il continua à écrire mais cette fois dans un journal. Il avait tant à dire, tant vu et entendu. Si un jour il mourrait et qu'il était le dernier samouraï il espérait que ses dessendants apprendrait pourquoi il s'est battu, pour l'honneur et qu'un jour ils fairaient renaittre cette si belle culture qui était la sienne. Il s'endormait souvant en écrivant, fatigué.

Cette routine était devenu la vie de Ruku-Kitsu pendant plusieurs temps, se lever, s'entrainé, méditer, s'entrainé, pratiquer son savoir et écrire. Quelques rares fois parler avec des gens de son entourage, ou assisté à des réunions du haut conseil, cette vie semblait fait pour lui en temps de paix, mais ce n'était pas la cas. Il se sentait mal à pensé que ses frères, ses amis, sa famille était loin et mourraient un à un face aux Flaxiens. Il espérait qu'un jour ces derniers payeraient pour tous ces crimes et que son fils ou sa fille pourrait vivre en paix au milieu des montagnes, qu'il pourrait courir entre les riziaires en jouant avec ses amis pendant que sa femme serait à la maison entrain de tamisé le riz et préparer à manger et que lui pourrait tous les voirs souriant le soir et compter les histoires de leur ancêtre et comme il avait tenu tête aux Flaxiens. Il y avait de l'espoir, tant qu'il porterait la flamme et qu'il pourrait la passé, il y aura de l,espoir qu'un jour celle-ci s'enflamme et brûle ses Flaxiens et de ces cendres renaissent le monde d'autre fois. Il lui suffisait de vivre ou plus tôt survivre jusqu'à ce jour. Ruku se réveilla par la lumière à sa fenêtre et sourit comme il le faisait tout le temps. Un autre jour se lève sur Cersess et un autre moins avant la chute des Flaxiens. Ruku se leva et dit:

-Ashita mata Flaxiens!
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MessageSujet: Re: Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe)   Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe) Icon_minitimeLun 28 Nov - 0:22

Il y a de ses moments où il n'y a plus d'espoir, plus d'avenir, juste le néant et les ténèbres. Ruku l'avait combattu de ses mains et avec tout les autres fier défenseur d'Arkol, avait repoussé le néant pour mille an. Pourtant ce n'était pas ce type de néant qui détruisait le jeune samouraï. C'était la souffrance de ne rien pouvoir faire contre l'invasion Flaxien. Son pays, sa maison, ses amis, sa famille, mais surtout son clan, il n'en restait surement rien. Nimporté quel samouraï à sa place se serait fait seppuku depuis longtemps, mais il ne pouvait pas se le permettre. Il avait ordre de survivre, et cet ordre venait probablement d'un mort aujourd'hui et il ne devait pas décevoir un mort. Le seul espoir qu'il lui restait était son enfant qui allait bientôt naitre. Il n'avait que ça.

Ruku décolla son visage de contre son livre contre le quel il s'était encore endormi. Il regarda par la fenêtre et il vit encore une fois un lever de soleil de plus sur Cersess. Il se demenda encore combien il verait avant de revoir sa femme. Il lacha un soupire et il se leva. Il prit son chapeau de paille qu'il s'était confectionné et le mit sur sa tête, il mit une cape, car il faisait froid et il sortit. Les deux gardes l'accompagna jusqu'à la demeure de Koizen. Il avait quelque chose d'important à faire avec son maitre. Il cogna à la porte et il n'entendit pas de réponse, il entra quand même, son maitre devait être habituer à sa présence. Il mit son chapeau dans son dos et il alla à ce qui était l'équivalent de la cuisine pour chez les elfes. Son maitre s'y trouvait. Ruku le salua en elfique et il s'assit en face de lui à table. Ruku croissa ses doigts de ses mains et accoda ses coudes à la table et il appuya sa bouche contre ses mains. Il prenait en général cette position lorsqu'il voulait dire quelque chose d'important. Il colla ses paumes de main contre la table et dit:

*elfique*-Il faut faire de quoi. Je ne peux pas resté ici jusqu'à la fin de mes jours pendant que mon clan se fait massacré et mon pays est ravagé. Oui Cersess est un oasis de paix, mais si les flaxiens continuent leur progression ils trouveront une façon de brisé votre bouclier et lorsque cela arrivera il n'y aura plus d'espoir. Par chez nous on dit que la meilleure défence s'est l'attaque. Je dis qu'il faut faire quelque chose contre les flaxiens, sinon cela ne sera pas juste quelques humains, que le haut conseil elfique voudrait disparaitre, qui vont mourir, mais bien tout! Les flaxiens vont drainé toutes les ressources qu'ils peuvent pour grossir et devenir plus fort, ils vont brûlé, couper et rasé les forêts pour créer des flottes de navire qui serviront au débarquement ici dès qu'ils auront trouvé une façon de briser le bouclier. Il faut les combattres avant qu'ils arrivent ici. Je veux faire quelque chose avant que cela arrive. Je vous en pris, parlé en au haut conseil elfique, demandé au moins qu'un excursion puisse sortir d'ici pour voir la situation mondiale, pouvoir prendre contact avec la résistence. On doit faire de quoi sinon cela sera la fin. *elfique*

Un long silence s'installa dans la cuisine, Ruku n'avait pas au tant parlé depuis des mois, même devant son maitre. Pourtant s'était un cris de désespoir qu'il venait de lancer, un appel à l'aide pour sauver ce qui pouvait être sauver. Il espérait que son maitre accepte, mais il craignait que le haut conseil refuse. Si au moins, lui et Koizen et quelques autres pouvaient partir en expédition cela serait parfait pour Ruku. Rester ici rendrerait fou Ruku surtout qu'il était sans nouvelle de sa femme depuis des mois. Il attendit passiament la réponse de Koizen, le regard vixe et vide vers la table.
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MessageSujet: Re: Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe)   Arriver à Cersess (Koisen, Talmire et les autres du groupe) Icon_minitime

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