En débarquant de Vérond

Nombre de messages : 24 Age : 35 Date d'inscription : 18/08/2011

Par une belle et humide matinée à Arkol, vint s'ammarrer parmi les embrumes un de ces énièmes navires apportant marchandises et nouveaux colons en terre d'Arkol. Parmi ces nouvelles âmes venues conquérir cette terre, s'en dénotait une qui n'avait pas l'air de n'avoir d'autre part où aller ou d'être un de ces héros en quête d'aventure...
Un homme vêtu dans des teintes de vert, de brun et de beige descendait du navire, serrant la main du capitaine tout en embarquant un gros paquetage sur son dos.

Le capitaine lui pointant une direction générale dans les terres, l'homme lui remit un courrier scellé, et descendit du navire, dans la direction de l'auberge du village pointée tout à l'heure, tandis que le capitaine s'inclinait, la lettre sur le coeur.

Arrivé devant la porte d'un des rares bâtiments d'arkol, il ferma ses yeux gris, prit une grande respiration, et entra.

Quelques personnes bien armées étaient déjà levées et profitaient des alcools du coin à cette heure matinale, levant à peine les yeux de leur verre pour voir qui était ce nouveau venu.

Il décida de s'installer dans un coin seul, sortant d'un petit sac à sa taille de quoi écrire et une bouteille d'eau claire.

Parmi les premières lueurs du soleil éclairant le pays d'Arkol, un être ce promena au sein de la forêt. Vêtu de son habituel toge noir, capuchon rabattu sur la tête, son armure au couleur du chêne et un modeste pagne vert auquel y était broder l'Arbre Mère de la nature, l'Elfe Koizen Galanodel ce promena entre les arbres.

Il était fort tôt et le jeune homme avais fort à faire, il devais plus tard rejoindre Darta pour une réunion auquel il ce rejoindrais au cimetière, puis ensuite retrouver son ami Isaac. Mais long sera le temps avec ses importante réunions auprès de la populace d'Arkol, il devais maintenant rejoindre un ami à l'auberge près de la côte. Le druide s'avança parmi les arbres et les branches fraîche du à la rosé du matin, il respira un grand coup avant de pénétrer dans l’enceinte du village là ou la limite de la forêt.

Il y vu l'arène et quelques combattant s’entraînent au petit matin, des gens autour du feu commençant à déjeuner ou bien ce parler et il vu quelques nouveaux marins venir du port. Certes le village fut légèrement animer ce matin mais cela n'avais rien d’inhabituel bien au contraire.

Une fois passé l'entré de l'auberge, l'elfe y salua les premières personnes qu'il reconnu, mais l'heure n'étant pas à s'attarder il devais retrouver son ami. Il le vu assis un peu plus loin à une table et seul, il s'avança alors vers ce dernier d'un pas assurer, cela fit un moment déjà qu'ils ne c'étaient pas revu.

Une fois près de la table l'elfe enleva son capuchon pour y faire découvrir son visage, puis s'adressa au jeune homme.

- Meneg Suilad , mon ami. Cela fait longtemps que l'on ces revu depuis Vérond. As-tu passé un bon voyage ? Quel bon vent t'amène ici en Arkol ?

L'elfe s'assis en face de Kamallen, puis tenta légèrement son sac en bandoulière, à l'intérieur s'y trouvais quelques baies et un peu de nectar de la veille et l'elfe crue sentir la faim le tenir en ce si bon matin, rien de plus normal lorsqu'on saute le petit déjeuner pour ce rendre à un endroit précis et ce loin de son campement.

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Kamallen leva les yeux de son livre sur lequel il s'échinait à écrire depuis son arrivée dans ce coin, surpris par une voix qu'il n'avait pas entendu depuis longtemps.

Koizen Galanodel! un émissaire de Cercess vient m'acueillir en ces terres où il est plus courant que d'y survivre que d'y vivre!
Mon père m'a averti lors de mon départ que je serais attendu ici à mon arrivée, mais je ne me doutais pas d'un aussi grand honneur...

Se levant, il s'inclina, tout comme le capitaine du navire, le poing sur le coeur.

- Il me fait plaisir de te revoir; cela faisait longtemps que tu n'étais pas passé sur les terres de mon père.
Mais, si tu me demandes ce qui m'amène ici, c'est que tu ne sais pas tout. que t'as dit mon père?

L'elfe fût pris d'un malaise, la manière que son ami avais parlé de lui ainsi au sein de la taverne lui créa cet émotion. Il n'était rien de plus qu'un simple ambassadeur, il n'y avais pas de quoi s'affoler pour si peu, il ne fessait que son devoir auprès de son peuple et de son pays.

- Heu Kamallen, je ne suis qu'un ambassadeur de la Cours Elfique, beaucoup des miens occupe cet fonction qui n'est en rien supra-extra-ordinaire. Nous sommes là que pour aider les notre et les intérêts de Cercesse. De plus ce que ton père m'a demander n'est en rien concerner par ce travail que j'accompli mais bien pour une autre tâche.

Koizen fini par sortir un lettre de son sac de voyage, une lettre avec le sceau de la noble famille du jeune homme assis en face de lui. Bien entendu le sceau était briser, l'elfe avais lu plusieurs fois la lettre venant de cet homme important qui voulu que Koizen prenne en charge les études de son enfant.

- En faite ... ton père m'a demander de te former à la vie que tu avais choisie. Il sous-entend dans cet lettre que tu aurais été toucher par la grâce de la déesse de la nature ... si je suis en gros ce qu'il à écrit. Que peu tu m'expliquer sur tes pouvoirs que la Déesse t'a donner ?

L'archi-druide ce douta bien qu'il avais soit des pouvoirs de prêtrise ou bien druidique, il pouvais sentir son énergie de la nature émettre des ondes positive de ce jeune homme. Mais quel étrange destin parcourt t-il en ce monde pour que son père demande au chevalier druidique de faire l'enseignement à son fils ... Kamallen risqua fortement de devenir son premier élève après son affirmation d'Archi-Druide.

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Pardonne-moi pour mon exubérence, je m'attendais à devoir renvoyer une compagnie de soldats qui m'attendrait au garde-à-vous.
En fait, mon père et la Tour ont tout fait pour me décourager de partir,mon père ne voulant pas que 'cette folie passagère' me tue,
et la Tour, bien... Disons que les "talents" dans mon genre sont rares, et ils ne veulent pas les perdre.

ça a changé quand mon père et le maître de la Tour sont venus me trouver pendant que je me reposais sous un arbre. une discussion
assez violente en a résulté, jusqu'à ce que je m'écrie "Par pitié, Vérénor, prouve-leur que je ne suis pas en train de leur mentir!"
et que le Maître de la tour se retrouve pris jusqu'à la taille dans les racines de l'arbre.

À partir de ce moment ils ont compris que je devais partir, et le Maître de la Tour ne m'a plus reparlé.

L'archi-druide écouta ce que le jeune homme avais à lui dire, mais cela n'expliquant pas l'étendu de ses pouvoirs, qu'est-ce que la Tour de magie de Vérond pouvais bien lui en vouloir à ce point là ? Au point ou est-ce qu'on doit mobiliser des troupes armées pour ré-expédier une personne chez eux. Et encore plus mystérieux : Pourquoi son père voulais t-il que l'elfe s'occupe de son apprentissage.

En faite c'est belle et bien la faute de la Cours Elfique qui chargea à l'elfe de cet mission ainsi que l'Ordre du Chêne Rouge, car il était le seul représentant en Arkol de l'Ordre des druides de Cercesse. Ainsi lui vena la tâche. L'elfe repris la parole suite à sa réflexion.

- Mais Kamallen, quel est l'étendu de tes pouvoirs pour que la Tour de Vérond ne veulent pas te laisser en sortir ? J'aimerais que tu m'explique en détails quels sont tes capacités en matières de magie. Et si tu peu me répondre à ceci : Pourquoi ton père à choisi de me laisser la tâche de tout t'enseigner sur la voie Druidique ?

Tant de question en ce si bon matin ... l'elfe commença déjà à avoir faim. Mais l'heure n'étant pas encore venu à la réflexion de mangé. Il attendit alors les lumières que le jeune homme pourrais lui fournir concernant sa venu ici en Arkol.

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Kamallen soupira, puis eut un petit rire résigné.

-Bah, Je crois que vérénor m'aidera encore une fois à faire mes preuves devant les indécis....

Et partit d'un rire franc en voyant des racines sortir de la terre battue de l'auberge pour aller entourer fermement les pieds de l'Elfe devant lui.

Et ce n'est pas tout!

Il prononça quelques mots étranges, et disparut à la vue de tous.

Soudainement des racines ce leva du sol pour essayer de prendre les pieds de l'archi-druide, l'elfe reconnu à ce moment que Kamallen usa de ses pouvoirs pour les lui démontré mais non de la bonne manière.

L'archi-druide d'une simple pensé reposer les racines et les fit retourné à même le sol (Contre-sort) et puis ce leva rapidement de son siège pour ce tenir debout, cherchant des yeux le jeune humain. Ne le voyant pas il du ce douter que ceci étant du à la manipulation de la magie ou d'un objet, alors sans plus attendre il invoqua la puissance de la déesse pour enlever toute manipulation de la Toile Arcanique en cet espace.

(Il désigne l'endroit ou Kamallen ce trouva un instant plus tôt et lança : Dissipation de la magie)

Koizen fût un peu furax de voir de quel manière un autre druide usa de ses pouvoirs, on ne doit jamais les utiliser de cet manière et surtout pas contre un autre représentant de la nature ... encore moins quand ce représentant est devenu maître Druide. Mais les petits tours farceur du jeune homme n'ayant pas marcher il attendit de voir les effets de son sort sur la zone ciblé en espérant y revoir le jeune Kamallen.

- Belle utilisation de la magie, mais jamais on ne doit lancé un sort de ce genre à un priant de la Déesse mère. Jamais contre un confrère à moins d'une rare exception l'ami.

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Ce dernier fut surpris des réflexes très aiguisés de l'Elfe, et réapparut quelques secondes seulement après sa disparition.
Figé de stupéfaction, il dévisageait son interlocuteur, sidéré de voir que ses sorts avaient été tout bonnement vains contre lui.

Le chevalier druidique avais vu juste, son ami était capable de dons magique et pas seulement de celui de la Mère Nature, c'était probablement le pourquoi la tour de magie de Vérond voulais tant qu'il reste auprès d'eux. Cela ce confirma dans sa tête lorsque sa tentative d'annuler la magie ai marcher.

Maintenant qu'il l'avais devant lui, le druide pris un air grave et fronça des sourcils. Il lança un regard noir à Kamallen pour le gronder.

- Sais tu que sa ne ce fait pas d'attaquer un druide avec ses propres sorts ! Sais tu que cela ce fait encore moins quand ce même druide est un maître ... de plus selon les directives de ton père , ton nouveau maître désormais.

L'elfe lui lança après un sourire amuser, certes autrefois il en fit autant de mauvais tours à ses maîtres ou à ses amis proches lorsqu'il avais commencer ses études auprès des druides de l'Ordre du Chêne, et il ce dit qu'ironiquement ceci l'avais rattraper.

- Cela va pour cet fois-ci mais ne t'avise pas de recommencer. Les druides sont les êtres parmi les plus sage et on ce doit de démontrer cet sagesse ... même si parfois nous ne le sommes pas toujours autant que nous le devons.

Il adressa un clin d'oeil à son ami, l'elfe ce surpris par moment d'être aussi sage dans ses paroles, il n'y avais de cela que quelques années il n'était pas si différent des autres soldats de la Cours Elfique, de plus il est devenu archi-druide bien jeune comparé à n'importe lequel des siens.

Non parce qu'il était exceptionnel, mais bien parce qu'après la mort de sa femme sa peine c'est transformer en volonté d'avancer et Vérénor lui à ré-ouverte ses bras ... bras qu'il avais étant plus jeune refuser d'embrasser ce chemin car il préférais la voie guerrière. Oui, l'elfe ce dit qu'en cet instant il avais bien grandit.

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Kamallen écouta passivement le sermon de Koizen, puis s'inclina une seconde fois.

-Je te demande pardon, mais j'ai perdu compte du nombre de fois où j'ai du faire mes preuves aux gens, c'est rendu une seconde nature de le faire ainsi.
Mais je dois dire que c'est la première fois où je me vois confronté à une contre-attaque aussi rapide.

Puis il fronça a son tour les sourcils

Je ne crois pas que mon père ait demandé à ce que tu fasse office de maître... j'en ai plus qu'assez de ces gens qui me dictent jusqu'à comment tenir des ustensiles pour manger.

L'elfe trouva la réponse de Kamallen assez comique, il n'était la en rien pour dire quoi faire au jeune homme et encore mois le commander. L'art druidique s'apprend d'une toute autre manière.

- Non je ne suis pas là pour te dire quoi faire ou comment manger avec tes ustensiles. Je suis envoyer ici pour t'aider à maîtriser tes pouvoirs. Non que tu ne sais pas comment les utiliser mais bien comment les utiliser, être en harmonie avec l'essence de la Nature et Vérénor elle-même. Cela te sera vital si un jour tu compte devenir un maître de la forêt, un Archi-druide tout comme moi.

Koizen sembla deviner que ce jeune homme ai passer sa vie à devoir obéir au ordre de quelqu'un d'autre, cela il le savais fort bien car lui-même toute sa vie il du obéir à ses supérieurs, à son père et à ses frères.
Il pouvais comprendre la frustration que cela pouvais causer. De suite à ce qu'il dit il rajouta :

- Bien entendu cet entrainement t'es ordonner par ton père, mais pour ma part je lui aurais répondu si j'en aurais eu la possibilité que la Nature n'est pas quelque chose qu'on ordonne. Ces chaotique, libre de toute manipulation, Vérénor nous permet d'user de la force de la nature pour nous défendre et défendre ses forêts et valeurs, mais nous ne pouvons dominer la foudre et encore moins le vent.

Je crois que tu comprend ce que je veux dire. Je ne t'imposerais rien ni te demanderais de m'appeler maître, je t'offre de t'aider à suivre la voie de Vérénor et ce tout cela en dépendra du choix que tu fera.

L'elfe avais dit l’essentiel, tout ce jouerais selon la réponse du jeune homme et de son envie de s'appliquer pour Mère Nature.

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Kamallen soupira.

J'ai abdiqué de mon titre, je ne suis plus l'héritier d'une baronnie, mais seulement le fils d'un baron.Mon père sait très bien qu'il ne peut me donner d'ordres maintenant. Mon frère était triste de mon départ mais content d'avoir le titre, d'ailleurs...

Il regarda autour de lui.

Tout cela est relativement nouveau pour moi. Cette terre... m'appelle... mais je ne peux pas en dire plus. c'est diffus.

L'elfe fût surpris qu'en les terres d'Arkol, quelque chose éveilla les sens de ce jeune homme. Quoi qu'après mur réflexion ... cela ne l'étonna plus, Theldrian l'avatar même de Vérénor était en ces lieux et il rappelais à lui les druides d'Arkol contre la menace de la graine d'Ombre. Était-ce le pourquoi le jeune Kamallen était appeler ?

- Si tu le veux je peu t'aider à chercher ces réponses avec toi. Je connais un sage parmi les sages en ce lieux, il saura nous en dire plus que n'importe qui d'autre en ce monde, il est bénit au nom de la déesse elle-même si tu vois ce que je veux dire.

Lui présenter Theldrian ne sera pas simple, il est difficile à trouver et surtout depuis la dernière attaque des Flaxiens, il du ce mettre en symbiose avec la nature elle-même pour la préserver mais il devais annoncer son retour pour la prochaine lune sans soucis.

Il lui montrerais ou ce cachais le Cercles des Druides dès qu'il en sera le temps.

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Je crois, sans vouloir t'insulter, que j'ai vu assez de sages pour l'instant...

Le jeune humain rangea son livre, se leva et prit son paquetage.

Je crois que le mieux serait pour l'instant de m'installer pendant que je vois encore la lumière du jour.

D'autant plus que la Tour pourrait me réserver des surprises encore; je ne crois pas mais il vaut mieux être prudent. Ils voulaient vraiment me garder.

La porte de l'auberge s'ouvrit, laissant entrer la lumière du matin qui filtrait à travers les arbres. La silhouette d'une elfe se découpait dans l'entrée, ses long cheveux noirs, retenus par des rubans ornés de plumes, descendaient en bataille sur ses épaules, ses bottes étaient couvertes de boue; elle avait dû passer une bonne partie de la nuit à l'extérieur.

Elle balaya la pièce du regard, et ses yeux furent vite habités d'une lumière chaude et tendre; elle avait trouvé celui qu'elle cherchait. Elle posa ses petites mains sur ses hanches, les poings fermés, et soupira en prenant un air faussement découragé, esquissant un petit sourire en coin.

Te voilà mellethamin... Je t'ai cherché partout après l'aube. Quelle idée t'as pris encore de laisser ainsi ta dame seule dans les bois?

L'elfe ricanna, comme si son interlocuteur comprendrait ce à quoi elle faisait référence.

J'ai entendu ta voix en arrivant dans le village, et j'ai senti la terre gronder. Que faisiez-vous?

Aussi, je suppose que tu n'as pas pris le temps de déjeuner, comme à l'habitude.

L'elfe s'approcha de Koizen et lui tendit un panier, dans lequel se trouvaient des fruits et des gateaux. Son ton se fit plus sérieux, moins moqueur et plus tendre.

Tu dois prendre soin de toi-même, mon bien-aimé, si tu veux que nous arrivions à prendre soin des nôtres comme nous le souhaitons. Nos corps sont le premier temple dont Vérénor nous fait cadeau à notre naissance. Il est de notre devoir de le chérir, même si parfois nous voulons nous oublier nous-même au profit d'un plus grand dessein.

Elle carressa les cheveux de Koizen et s'assit à ses cotés, puis laissa sa tête choir tendrement sur son épaule. Son ton redevint léger et moqueur.

Alors, qui est ton ami? Tu ne me présente pas? Aurais-tu honte de ta nouvelle flamme?

L'elfe ne s'attendais pas à revoir sa bien aimé aussi rapidement en ce bon matin, certes il l'avais laisser à sa méditation (Sommeil pour les elfes), mais à cet instant il fût très heureux de la revoir à nouveaux si tôt. La voyant ce moquer de lui amicalement il lui rendit son sourire et ce pressa de répondre à ses multiples questions.

- Pour commencer ma douce, j'ai oublier de prendre quelque chose à mangé en sortant du campement, promis que j'y penserais d'avantage la prochaine fois. Pour ce qui était du bruit ce n'était rien, un simple exercice pour prévenir d'éventuel dommage relier à la terre (Il lança un regard vers Kamallen). Je te remercie mon amour pour ton sage conseil et pour avoir apporté ce panier.

Puis la dernière phrase d'Anariel lui revenais en tête, il trouva étrange ses derniers propos. Toute en jouant dans les cheveux de sa bien aimé il ajouta ceci:

- Mais non ma chérie, pourquoi aurais-je honte de toi ? Quel question étrange ... sinon je laisserais le soin à mon ami de se présenter lui-même.

Tout en ce tournant vers son ami, l'archi-druide songea maintenant à ce que la bonne entente arrive entre les deux êtres, il n'avais pas le gout de poussé plus loin la discution de tout à l'heure sans avoir mangé quoi que ce soit ... il sentait la faim ce battre contre lui et elle fût tenace. D'un geste lent, essayent d'être subtile, l'elfe tandis la main vers le panier de nourriture que sa charmante flammes avais apporté.

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Kamallen s'inclina pour la troisième fois, cete fois-ci en direction de la dame, son paquetage oscillant dangereusement sur son épaule tandis qu'il s'exécutait.

Mon nom est Kamallen, fils de Carn, Baron du Pic Noir, de Vérond. J'ai connu Koizen encore enfant, tandis qu'il passait plus souvent à table de mon père.

Mais, bien que je puisse deviner vos liens avec lui, Puis-je savoir à qui ais-je l'honneur?